Saison 2020-2021 - J21- 17 avril 2021 à21h05 - Racing vs Stade Français

johnantony75 a écrit:

La semaine prochaine c'est une sorte de 8ème de finale : Si on gagne à Brive, vu notre calendrier et celui des autres, on devrait être dans les 6. Si on perd à Brive c'est tout simplement fini.

Je pense donc que la motivation est suffisante pour se sortir les doigts et tout faire pour atteindre le Top 6 que l'on a pas vu depuis 2015

je pense que tu n'a pas regardé le classement avec attention.
si on enlève les 3 "intouchables" (à au moins 10 points de nous), je vois 3 clubs qui ont le même nombre de matchs que nous et qui ont entre 2 et 7 points de plus. Un autre à 4 points devant le SFP avec un match en retard (Toulon) et l'UBB, certes à égalité de points (mais on a tellement était bon au match retour qu'au classement particulier, ils sont devant nous) mis avec DEUX matchs de retard.
si mathématiquement, rien n'est effectivement joué, j'imagine que ces 5 clubs ont globalement la même ambition et la même motivation que nous. Et des staffs, qui, tout autant que le notre, vont savoir tirer le meilleur parti de leur équipe.
L'ambition à court terme pour le prochain match, c'est de dire aux Brivistes de regarder derrière eux  plutôt que de lorgner notre place. Mais je me souviens que l'année du titre, on se prend un 27 à 0 quand même.
Montpellier reste l'inconnu.
Et comme nos 2 derniers matchs sont contre Lyon (qui sera encore en course vraisemblablement et aura besoin de points) puis Bayonne (qui ne sera peut-être pas encore sauvé des barrages), l'affaire peu être compliquée car on ne sait pas toujours conduire correctement nos fins de saison. Remember:
2014 avec Quesada: J26 - on échoue à 1 point après avoir perdu contre Toulon à Nice (on était 6eme ex æquo avant cette journée)
2017 avec Quesada:J26 - on échoue à 3 points après avoir perdu contre le MHR (on était 6eme ex æquo avant cette journée)
2019 avec Meyer:J26 - on finit certes à 6 points mais on était à 1 point de cette place après J22 (et celui qui finira 6eme étai alors derrière nous, à 4 points).
Même l'année du titre, on était un peu mieux classé à J22 qu'à J26.
Alors, ne tirons pas trop de plans sur la comète. Prenons déjà plaisir à voir jouer et si possible gagner nos couleurs.

fanstade a écrit:

C est ironique ce que tu dit n est ce pas?

si c'est moi que tu t'adresses, non.Je le reconsidère dans le TOP 10 des meilleurs entraineurs au monde.Et qu'il soit chez nous est une chance unique.

Et numéro 1 en France sans aucun doute devant Urios et personne derrière eux deux.

imjustlooking a écrit:

fanstade a écrit:

C est ironique ce que tu dit n est ce pas?

si c'est moi que tu t'adresses, non.Je le reconsidère dans le TOP 10 des meilleurs entraineurs au monde.Et qu'il soit chez nous est une chance unique.

Et numéro 1 en France sans aucun doute devant Urios et personne derrière eux deux.

Ton clavier a du fourché: le top 10 des meilleurs entraineurs sud-américains je suppose? ça assurément. Hors Ledesma...
Je conçois même le top 10 des entraineurs de top 14 (puisqu'on est 9eme).
Pour le reste? perso, je considère que le néo-zélandais Crowley est au moins aussi bon.

Résumons: pour battre le racing chez eux, il faut les prendre en mai (et pas en octobre ou en mars par exemple).
10 mai 2015
5 mai 2019
1 mai 2021
( ça marche pas le 5 mai 2012 mais c'était au stade de France).

Quel pied!
Bravo à tous les joueurs et au staff!
On est allés la chercher celle là.
C’est pour ça qu’on aime ce club. Je n’ai pas trop d’ambition pour la fin de saison.
La match contre Brive sera très compliqué. Je pense qu’on a pas mal de joueurs qui sont un peu cabossés ce soir.
Dommage de perdre Jo et Matera sur ce qu’ils montrent en fin de saison. J’espère qu’on va recruter ces 5/6 joueurs qui nous permettront de pouvoir faire tourner un peu tout en restant ambitieux.

Samalyss a écrit:

Les commentaires de Bayle et Heymans c'est quelque chose quand même !!
On ne peut plus partisan. C'est affolant.

- Et bien moi ça me rappelle tout à fait les commentaires de T. Lombard.....

imjustlooking a écrit:

Gonzalo Quesada (manager sportif du Stade Français) : « Nous avions bien préparé ce match. Nous travaillons beaucoup en interne, sur notre conquête, notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs. Nous avions parlé de fierté, de rester en vie, de contenu, de ce que nous sommes capables de faire sur le terrain. Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit. C'est sympa. Est-ce qu'on croit aux phases finales ? On a besoin de constance. Ce n'est pas une saison simple. On voulait maîtriser notre performance et que le groupe montre son caractère. Quand tout est réuni, on peut tout espérer. On voulait bien démarrer notre dernier bloc de matches. C'est fait avec la victoire face à Pau et celle-ci au Racing. Il faut passer par ce type de performance. On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui. Il reste du travail. Il ne faut pas s'enflammer. C'était un gros test pour notre confiance. Pour qu'une équipe prenne confiance, il faut du temps. »


Que d'intelligence dans le management dans cette interview :

->Nous travaillons beaucoup en interne, sur (..) notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs.
->Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit.

A lire et à relire pour tout manager !!!

et en plus il vire dans l'Audiard maintenant !!

On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui.


Ce type est vraiment ce qui est arrivé de mieux au club depuis le départ de Galtier. Pourvu qu'il reste encore très longtemps au club.

Chut ne le dis pas trop fort.
Certains ici n’aiment pas le soft and smart management et ne croient qu’aux beugleries d’un Urios ou consorts.

dubois51 a écrit:

imjustlooking a écrit:

Gonzalo Quesada (manager sportif du Stade Français) : « Nous avions bien préparé ce match. Nous travaillons beaucoup en interne, sur notre conquête, notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs. Nous avions parlé de fierté, de rester en vie, de contenu, de ce que nous sommes capables de faire sur le terrain. Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit. C'est sympa. Est-ce qu'on croit aux phases finales ? On a besoin de constance. Ce n'est pas une saison simple. On voulait maîtriser notre performance et que le groupe montre son caractère. Quand tout est réuni, on peut tout espérer. On voulait bien démarrer notre dernier bloc de matches. C'est fait avec la victoire face à Pau et celle-ci au Racing. Il faut passer par ce type de performance. On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui. Il reste du travail. Il ne faut pas s'enflammer. C'était un gros test pour notre confiance. Pour qu'une équipe prenne confiance, il faut du temps. »


Que d'intelligence dans le management dans cette interview :

->Nous travaillons beaucoup en interne, sur (..) notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs.
->Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit.

A lire et à relire pour tout manager !!!

et en plus il vire dans l'Audiard maintenant !!

On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui.


Ce type est vraiment ce qui est arrivé de mieux au club depuis le départ de Galtier. Pourvu qu'il reste encore très longtemps au club.

Chut ne le dis pas trop fort.
Certains ici n’aiment pas le soft and smart management et ne croient qu’aux beugleries d’un Urios ou consorts.

Sauf que tout ceci n'a strictement rien à voir avec le management, mais avec la préparation mentale. Et ce n'est pas en employant des termes anglo-saxons mal maîtrisés mais qui se veulent "modernes" que celà modifiera les choses.
Et puis si on compare les parcours d'Urios et de Quesada depuis 2013, l'un n'a rien a envié à l'autre, avec des styles effectivement très différents.

loubiere a écrit:

dubois51 a écrit:

imjustlooking a écrit:

Gonzalo Quesada (manager sportif du Stade Français) : « Nous avions bien préparé ce match. Nous travaillons beaucoup en interne, sur notre conquête, notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs. Nous avions parlé de fierté, de rester en vie, de contenu, de ce que nous sommes capables de faire sur le terrain. Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit. C'est sympa. Est-ce qu'on croit aux phases finales ? On a besoin de constance. Ce n'est pas une saison simple. On voulait maîtriser notre performance et que le groupe montre son caractère. Quand tout est réuni, on peut tout espérer. On voulait bien démarrer notre dernier bloc de matches. C'est fait avec la victoire face à Pau et celle-ci au Racing. Il faut passer par ce type de performance. On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui. Il reste du travail. Il ne faut pas s'enflammer. C'était un gros test pour notre confiance. Pour qu'une équipe prenne confiance, il faut du temps. »


Que d'intelligence dans le management dans cette interview :

->Nous travaillons beaucoup en interne, sur (..) notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs.
->Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit.

A lire et à relire pour tout manager !!!

et en plus il vire dans l'Audiard maintenant !!

On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui.


Ce type est vraiment ce qui est arrivé de mieux au club depuis le départ de Galtier. Pourvu qu'il reste encore très longtemps au club.

Chut ne le dis pas trop fort.
Certains ici n’aiment pas le soft and smart management et ne croient qu’aux beugleries d’un Urios ou consorts.

Sauf que tout ceci n'a strictement rien à voir avec le management, mais avec la préparation mentale. Et ce n'est pas en employant des termes anglo-saxons mal maîtrisés mais qui se veulent "modernes" que celà modifiera les choses.
Et puis si on compare les parcours d'Urios et de Quesada depuis 2013, l'un n'a rien a envié à l'autre, avec des styles effectivement très différents.

Tu ne maitrises peut-être pas les termes anglo-saxons et ce qu’est le soft and smart management, mais moi je le pratiquais tous les jours il y a encore quelques mois. Et le management englobe une grosse part de psychologie, ce qu’est la préparation mentale.
Personnellement, je n’aime absolument pas le management des grandes gueules et le management par la terreur. Je l’ai trop subit dans ma jeunesse. Mais j’avoue qu’a court/moyen terme, ça marche très bien, surtout dans le sport où il faut des résultats quasi-immédiats.

dubois51 a écrit:

Tu ne maitrises peut-être pas les termes anglo-saxons et ce qu’est le soft and smart management, mais moi je le pratiquais tous les jours il y a encore quelques mois. Et le management englobe une grosse part de psychologie, ce qu’est la préparation mentale.
Personnellement, je n’aime absolument pas le management des grandes gueules et le management par la terreur. Je l’ai trop subit dans ma jeunesse. Mais j’avoue qu’a court/moyen terme, ça marche très bien, surtout dans le sport où il faut des résultats quasi-immédiats.

Ce n'est pas parce que tu pratiques tu es un bon manager. ensuite, tu n'es assurément pas le seul à avoir été ou à être manager (que tu n'as d'ailleurs jamais enseigné je suppose?). Et ça m'étonnerait beaucoup que tu pratiques la préparation mentale avec tes collaborateurs, sauf si tu manages des athlètes ou des sportifs.
Je crois aussi qu'on ne connait du style de management d'Urios que ce qu les caméras veulent bien montrer, qui, je pense, est assez éloigné de la réalité. A moins de me prouver qu'il ne marche qu'au fouet et à la terreur, qu'il est incapable de fixer des objectifs à son équipe,  qu'il ne pratique pas le soft management (l''équilibre entre les résultats et l'humain, la prise en compte des particularités de chacun, l'empathie, l'écoute,...).
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
quant à ta dernière phrase, elle m'amuse beaucoup. Oui, on travaille dans un club pro à court terme. Tout simplement parce que dans 3 ou 4 ans, personne ne sait si Lombard sera encore là, si Quesada sera encore là, ni même si Wild sera encore là. Et surtout on est quasiment sûr que plus de la moitié ou les trois-quarts des joueurs actuels ne porteront plus le maillot rose alors. Oui il faut donc appliquer des méthodes pour réussir rapidement.

dubois51 a écrit:

imjustlooking a écrit:

Gonzalo Quesada (manager sportif du Stade Français) : « Nous avions bien préparé ce match. Nous travaillons beaucoup en interne, sur notre conquête, notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs. Nous avions parlé de fierté, de rester en vie, de contenu, de ce que nous sommes capables de faire sur le terrain. Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit. C'est sympa. Est-ce qu'on croit aux phases finales ? On a besoin de constance. Ce n'est pas une saison simple. On voulait maîtriser notre performance et que le groupe montre son caractère. Quand tout est réuni, on peut tout espérer. On voulait bien démarrer notre dernier bloc de matches. C'est fait avec la victoire face à Pau et celle-ci au Racing. Il faut passer par ce type de performance. On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui. Il reste du travail. Il ne faut pas s'enflammer. C'était un gros test pour notre confiance. Pour qu'une équipe prenne confiance, il faut du temps. »


Que d'intelligence dans le management dans cette interview :

->Nous travaillons beaucoup en interne, sur (..) notre état d'esprit, notre caractère, la construction de notre groupe. On s'était donné des objectifs.
->Nous avions essayé de visualiser ce qui allait se passer, les joueurs ont joué le jeu et l'ont reproduit.

A lire et à relire pour tout manager !!!

et en plus il vire dans l'Audiard maintenant !!

On n'était peut-être pas si mort hier et on n'est pas peut-être pas si beau aujourd'hui.


Ce type est vraiment ce qui est arrivé de mieux au club depuis le départ de Galtier. Pourvu qu'il reste encore très longtemps au club.

Chut ne le dis pas trop fort.
Certains ici n’aiment pas le soft and smart management et ne croient qu’aux beugleries d’un Urios ou consorts.

Il faut quand même noter qu'après mi-temps, on constate que le discours du vestiaire a été plus efficace d'un coté que de l'autre. Galvaniser les troupes fait parti du rôle des leaders (capitaine d’équipe et staff). Concernant le capitaine, PAE, je ne le vois pas sur le terrain... Il est invisible pour moi. Il faut un vrai meneur d'hommes!

NimO^ a écrit:

Il faut quand même noter qu'après mi-temps, on constate que le discours du vestiaire a été plus efficace d'un coté que de l'autre. Galvaniser les troupes fait parti du rôle des leaders (capitaine d’équipe et staff).

A la mi-temps, le Racing fait rentrer quatre joueurs.

C’est comme notre tendance à souffrir en fin de match, encore observée hier.

Quand le Racing, malgré tous ces joueurs absents, peut se permettre de faire rentrer des joueurs comme Bernard Le Roux, Hassane Kolingar, Georges-Henri Colombe, Yoann Tanga-Mangene, Teddy Iribaren, Emiliano Boffelli... On pouvait craindre une fin de match compliquée. Il y a une différence évidente sur la profondeur d’effectif.

loubiere a écrit:

dubois51 a écrit:

parcours d'Urios et de Quesada depuis 2013, l'un n'a rien a envié à l'autre, avec des styles effectivement très différents.

Tu ne maitrises peut-être pas les termes anglo-saxons et ce qu’est le soft and smart management, mais moi je le pratiquais tous les jours il y a encore quelques mois. Et le management englobe une grosse part de psychologie, ce qu’est la préparation mentale.
Personnellement, je n’aime absolument pas le management des grandes gueules et le management par la terreur. Je l’ai trop subit dans ma jeunesse. Mais j’avoue qu’a court/moyen terme, ça marche très bien, surtout dans le sport où il faut des résultats quasi-immédiats.

Ce n'est pas parce que tu pratiques tu es un bon manager. ensuite, tu n'es assurément pas le seul à avoir été ou à être manager (que tu n'as d'ailleurs jamais enseigné je suppose?). Et ça m'étonnerait beaucoup que tu pratiques la préparation mentale avec tes collaborateurs, sauf si tu manages des athlètes ou des sportifs.
Je crois aussi qu'on ne connait du style de management d'Urios que ce qu les caméras veulent bien montrer, qui, je pense, est assez éloigné de la réalité. A moins de me prouver qu'il ne marche qu'au fouet et à la terreur, qu'il est incapable de fixer des objectifs à son équipe,  qu'il ne pratique pas le soft management (l''équilibre entre les résultats et l'humain, la prise en compte des particularités de chacun, l'empathie, l'écoute,...).
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
quant à ta dernière phrase, elle m'amuse beaucoup. Oui, on travaille dans un club pro à court terme. Tout simplement parce que dans 3 ou 4 ans, personne ne sait si Lombard sera encore là, si Quesada sera encore là, ni même si Wild sera encore là. Et surtout on est quasiment sûr que plus de la moitié ou les trois-quarts des joueurs actuels ne porteront plus le maillot rose alors. Oui il faut donc appliquer des méthodes pour réussir rapidement.[/quote]
C’est toujours distrayant de te lire. Tu ne sais pas qui je suis, ce que fait, ce que j’ai été, mais tu affirmes péremptoirement que je ne connais pas ce que j'écris. Et tu en rajoutes une couche en insinuant que je ne suis pas un bon manager. J’adore. La seule chose de vrai dans ton jugement, c’est que je n’ai jamais enseigné, que ce soit le management ou autre chose. Je sais que là, je ne suis pas le plus efficace. Et ça m’évitera te t’instruire.

Nota : l’image d’Urios avec un fouet (et d’autres accessoires), je l’ai bien en tête maintenant.

dubois51 a écrit:

C’est toujours distrayant de te lire. Tu ne sais pas qui je suis, ce que fait, ce que j’ai été, mais tu affirmes péremptoirement que je ne connais pas ce que j'écris. Et tu en rajoutes une couche en insinuant que je ne suis pas un bon manager. J’adore. La seule chose de vrai dans ton jugement, c’est que je n’ai jamais enseigné, que ce soit le management ou autre chose. Je sais que là, je ne suis pas le plus efficace. Et ça m’évitera te t’instruire.

Nota : l’image d’Urios avec un fouet (et d’autres accessoires), je l’ai bien en tête maintenant.

bien piètre manager celui qui ne forme pas ses collaborateurs, notamment si ceux-ci sont en charge également d'encadrer des "équipes. rien de péremptoire là-dedans, juste quelques longues années de pratique.
Mais ce n'est pas bien grave! Restons-en aux basiques: la passe, la mêlée, la touche....
Et si tu as déjà chaussé les crampons en club (un truc sérieux, avec un championnat, un classement, etc..) quel est ton avis (d'expert donc) sur la sempiternelle ritournelle qui sévit de fédérale 2 à la 4eme série, des séniors aux minimes, année après année (sauf malheureusement depuis mars 2020): "si tu n'es pas à l'entrainement mardi soir, tu ne joueras pas dimanche!"
nota: si l'image d'Urios te plait.: tant mieux pour toi. Quesada a plutôt l'air de celui qui les reçoit, les coups....

NimO^ a écrit:

Il faut quand même noter qu'après mi-temps, on constate que le discours du vestiaire a été plus efficace d'un coté que de l'autre. Galvaniser les troupes fait parti du rôle des leaders (capitaine d’équipe et staff). Concernant le capitaine, PAE, je ne le vois pas sur le terrain... Il est invisible pour moi. Il faut un vrai meneur d'hommes!

je n'ai aucun avis sur l'attitude de PAO comme capitaine. Je sais seulement qu'il a été coopté par ses équipiers, avec l'accord du staff.
Quant à la manière de motiver, d'entrainer les gens il y a le style Parisse ou Pichot mais aussi le style Dusautoir ou Papé.

loubiere a écrit:

dubois51 a écrit:

C’est toujours distrayant de te lire. Tu ne sais pas qui je suis, ce que fait, ce que j’ai été, mais tu affirmes péremptoirement que je ne connais pas ce que j'écris. Et tu en rajoutes une couche en insinuant que je ne suis pas un bon manager. J’adore. La seule chose de vrai dans ton jugement, c’est que je n’ai jamais enseigné, que ce soit le management ou autre chose. Je sais que là, je ne suis pas le plus efficace. Et ça m’évitera te t’instruire.

Nota : l’image d’Urios avec un fouet (et d’autres accessoires), je l’ai bien en tête maintenant.

bien piètre manager celui qui ne forme pas ses collaborateurs, notamment si ceux-ci sont en charge également d'encadrer des "équipes. rien de péremptoire là-dedans, juste quelques longues années de pratique.
Mais ce n'est pas bien grave! Restons-en aux basiques: la passe, la mêlée, la touche....
Et si tu as déjà chaussé les crampons en club (un truc sérieux, avec un championnat, un classement, etc..) quel est ton avis (d'expert donc) sur la sempiternelle ritournelle qui sévit de fédérale 2 à la 4eme série, des séniors aux minimes, année après année (sauf malheureusement depuis mars 2020): "si tu n'es pas à l'entrainement mardi soir, tu ne joueras pas dimanche!"
nota: si l'image d'Urios te plait.: tant mieux pour toi. Quesada a plutôt l'air de celui qui les reçoit, les coups....

Tu comprends vraiment ce que tu veux. Tu es toujours dans le blanc ou le noir, jamais dans la demie-mesure. Et jamais dans la compréhension de l’autre.
Où ai-je dit que je ne forme pas mes collaborateurs ? J’ai dit que je ne suis pas le plus efficace dans ce domaine, pas que je ne le faisais pas.
J’ai au moins cette qualité que tu ne sembles pas avoir : je connais mes défauts.

dubois51 a écrit:

Tu comprends vraiment ce que tu veux. Tu es toujours dans le blanc ou le noir, jamais dans la demie-mesure. Et jamais dans la compréhension de l’autre.
Où ai-je dit que je ne forme pas mes collaborateurs ? J’ai dit que je ne suis pas le plus efficace dans ce domaine, pas que je ne le faisais pas.
J’ai au moins cette qualité que tu ne sembles pas avoir : je connais mes défauts.

Désolé: je n'en n'ai pas!
Par contre, répondre aux questions posées, c'est aussi une bonne attitude de manager.

Je voudrais prendre le temps d'écrire un mot sur 3 joueurs que j'ai trouvé sensationnels samedi.

Tolu Latu, Paul Alo Emile et James Hall.

Latu est de classe mondiale, propre en touche, puissant comme un Camille Chat il a dû réaliser au moins 4 grattages.
Notre capitaine Paul Alo Emile lui joue bien trop depuis 2 saisons j'espère qu'on ne va pas hypothéquer ses saisons post trentaine à tirer sur la corde comme ça ...Il est notre force tranquille.
James Hall a lui fait un match tonitruant. Sur le début de match il stoppe le Racing au plaquage 2-3 fois et avec son jeu au pied propre trouve des touches sur les 50 voir mieux. Sur la fin de match non remplacé il finit cramé.

Segonds est en train de devenir notre Dominguez .

Dam's a écrit:

Je voudrais prendre le temps d'écrire un mot sur 3 joueurs que j'ai trouvé sensationnels samedi.

Tolu Latu, Paul Alo Emile et James Hall.

Latu est de classe mondiale, propre en touche, puissant comme un Camille Chat il a dû réaliser au moins 4 grattages.
Notre capitaine Paul Alo Emile lui joue bien trop depuis 2 saisons j'espère qu'on ne va pas hypothéquer ses saisons post trentaine à tirer sur la corde comme ça ...Il est notre force tranquille.
James Hall a lui fait un match tonitruant. Sur le début de match il stoppe le Racing au plaquage 2-3 fois et avec son jeu au pied propre trouve des touches sur les 50 voir mieux. Sur la fin de match non remplacé il finit cramé.

Segonds est en train de devenir notre Dominguez .

Même celle ou l'arbitre annonce qu'elle a été rentrée dans les 22

Le pète qu'il se prends Burban pour arrêter Georges Henri Colombes lancé juste avant le grattage salvateur de Da Silva à la 80ème.
Quel homme.

Dam's a écrit:

Le pète qu'il se prends Burban pour arrêter Georges Henri Colombes lancé juste avant le grattage salvateur de Da Silva à la 80ème.
Quel homme.

Énorme effectivement ... la tête mal placée sur le placage et il ressort sonné.
A noter quand même, contrairement à ce que dit Quesada et toi (et tout le monde), ce n'est pas Da Silva qui nous sauve (même si son grattage est bon), mais le déblayage par le côté du 18 banlieusard sur Hall (faute très grossière). Ce qu'indique l'arbitre juste après.

dubois51 a écrit:

A noter quand même, contrairement à ce que dit Quesada et toi (et tout le monde), ce n'est pas Da Silva qui nous sauve (même si son grattage est bon), mais le déblayage par le côté du 18 banlieusard sur Hall (faute très grossière). Ce qu'indique l'arbitre juste après.

Si Lucas Da Silva n’avait pas été le premier pour gratter le ballon sur ses appuis, le joueur du Racing n’aurait pas été contraint de se mettre à la faute. Sans cette faute, le parisien récupérait le ballon.

en fait, vu la gestuelle et la posture de l'arbitre (qui ne regarde pas du tout le déblayage fautif sur Hall, à 1 mètre du ruck... faute qui aurait mérité un CJ en cours de match je pense), je crois qu'il sanctionne le 4 du R92 qui rejoint le ruck plutôt bien mais qui s'enroule ensuite autour de Da Silva et qui retombe totalement en travers. Donc, à mon avis, il y a 2 fautes du R92 sur ce ruck : l'un indiscutable du 18 sur Hall, l'autre moins évidente mais réelle du 4.
Tout ça pour dire que le R92 aurait pu empocher 5 points si cette action, bien partie, était allée au bout (et honnêtement, j'étais certain qu'on allait le prendre cet essai !).

sebastor a écrit:

en fait, vu la gestuelle et la posture de l'arbitre (qui ne regarde pas du tout le déblayage fautif sur Hall, à 1 mètre du ruck... faute qui aurait mérité un CJ en cours de match je pense), je crois qu'il sanctionne le 4 du R92 qui rejoint le ruck plutôt bien mais qui s'enroule ensuite autour de Da Silva et qui retombe totalement en travers. Donc, à mon avis, il y a 2 fautes du R92 sur ce ruck : l'un indiscutable du 18 sur Hall, l'autre moins évidente mais réelle du 4.
Tout ça pour dire que le R92 aurait pu empocher 5 points si cette action, bien partie, était allée au bout (et honnêtement, j'étais certain qu'on allait le prendre cet essai !).

Effectivement, le 4 est aussi fautif... je n'avais pas fait attention, vue la faute énorme du 18.
A noter quand même qu'au début de la faute du 18, il est dans la ligne de mire de l'arbitre, mais plus à la fin.
Je crois désormais effectivement qu'il siffle la faute du 4.
Bref, 2 fautes qui nous sauvent.