Bath Harlequins

Ce n'est pas tant un match de Premiership que je veux évoquer qu'un écart dans les arbitrages selon les pays

Contexte:
2nde Mi-temps
45ème minute
Bath pilonne
Mêlée à 5
Là, les Quinns multiplient les fautes et l'arbitre préfère multiplier les cartons jaunes que d'accorder un essai de pénalité
3 cartons jaunes en moins de 10 minutes sur la même mêlée rejouée indéfiniment.
Le pire c'est que ça n'a pas immédiatement suffit pour que Bath fasse la différence: Pénaltouche, ballon volé...
Le premier expulsé était déjà revenu quand, enfin, Bath a inscrit son essai.

La question qui subsiste: pourquoi l'arbitre n'a-t-il pas accordé d'essai de pénalité?

Sapiens Sapiens a écrit:

La question qui subsiste: pourquoi l'arbitre n'a-t-il pas accordé d'essai de pénalité?

La règle indique CJ + Essai de pénalité.

Mais les clubs trouvent exagérée cette double peine et bien que la règle subsiste toujours il a été conseillé, par l'IRB, aux arbitres soit de mettre un CJ soit de mettre un essai de pénalité.

Toutefois dans le contexte que tu racontes l'arbitre aurait du accorder un essai de pénalité au lieu de mettre un second CJ.
C'est généralement arbitré comme cela surtout en match international.

Maintenant est-ce plus avantageux d'avoir :

1 - CJ, puis dans un second temps CJ , puis dans un 3ème temps CJ. (En moyenne c'est 15 contre 13 pendant 20')
2 - CJ, puis dans un second temps CJ , puis dans un 3ème temps Essai Pénalité
3 - CJ, puis dans un second temps Essai Pénalité
4 - Essai Pénalité direct. Mais à condition que sans la faute adverse l'essai était imparable.

NDi a écrit:

Maintenant est-ce plus avantageux d'avoir :

1 - CJ, puis dans un second temps  CJ , puis dans un 3ème temps CJ. (En moyenne c'est 15 contre 13 pendant 20')
2 - CJ, puis dans un second temps  CJ , puis dans un 3ème temps  Essai Pénalité
3 - CJ, puis dans un second temps Essai Pénalité
4 - Essai Pénalité direct. Mais à condition que sans la faute adverse l'essai était imparable.

Mais la part d'interprétation de l'arbitre, je la comprends sur la manière de juger un acte (hors jeu, grattage...).
Faute / Pas Faute.
Je ne vois pas comment l'arbitre peut à ce point décider d'avantager ou non une équipe.
Même si j'essaie de ne pas émettre de jugement sur l'arbitrage quand le SF est concerné, dans des circonstances similaires, j'aurais eu du mal.

Sapiens Sapiens a écrit:

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Je ne vois pas comment l'arbitre peut à ce point décider d'avantager ou non une équipe.

Grande question existentialiste qui postule que l'arbitre forme l'essence de sa vie par ses propres actions ... et ses choix.

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