On a le droit de perdre, mais pas de démissionner...

Rugbyrama n'est pas tendre envers le SF :

Stade français-Bayonne: 21-13. Arnaud BEURDELEY

"Nous ne sommes pas une équipe de pipes", avait affirmé jeudi dernier Pascal Papé. Faut-il prendre pour argent comptant tout ce que dit le capitaine du Stade français ? Force est de s'interroger et de constater que l'homogénéité n'est pas la qualité première de l'effectif parisien. Tant s'en faut. En toute objectivité, si certains éléments tirent l'équipe parisienne vers le haut, d'autres l'entraînent vers le bas. Et il suffit d'un, deux ou trois joueurs majeurs absents pour que le club de la capitale ne devienne qu'une formation très (très) moyenne. En clair, dans les conditions actuelles, le Stade français ne mérite pas son rond de serviette à la table des gros cadors du Top 14. Les Parisiens ont beau répéter à ceux qui veulent bien encore les écouter qu'ils ont toujours l'objectif de se qualifier pour les phases finales, ils savent mieux que personne combien la tâche sera complexe, pour ne pas dire irréalisable. Évidemment, il est de bon ton, face caméra, de clamer que l'espoir est intact. La méthode Coué dans toute sa splendeur. Mais, parfois entre les lignes, la vérité sonne comme une évidence. A l'image de cette petite phrase de Pascal Papé, reprise samedi soir en conférence de presse par Julien Dupuy avec un sourire las: "Quand on n'est pas bons, on ferme sa gueule et on travaille". Et pourtant, samedi à Charlety, le Stade français a battu Bayonne..

Alextri a écrit:

Rugbyrama n'est pas tendre envers le SF :

Stade français-Bayonne: 21-13. Arnaud BEURDELEY

"Nous ne sommes pas une équipe de pipes", avait affirmé jeudi dernier Pascal Papé. Faut-il prendre pour argent comptant tout ce que dit le capitaine du Stade français ? Force est de s'interroger et de constater que l'homogénéité n'est pas la qualité première de l'effectif parisien. Tant s'en faut. En toute objectivité, si certains éléments tirent l'équipe parisienne vers le haut, d'autres l'entraînent vers le bas. Et il suffit d'un, deux ou trois joueurs majeurs absents pour que le club de la capitale ne devienne qu'une formation très (très) moyenne. En clair, dans les conditions actuelles, le Stade français ne mérite pas son rond de serviette à la table des gros cadors du Top 14. Les Parisiens ont beau répéter à ceux qui veulent bien encore les écouter qu'ils ont toujours l'objectif de se qualifier pour les phases finales, ils savent mieux que personne combien la tâche sera complexe, pour ne pas dire irréalisable. Évidemment, il est de bon ton, face caméra, de clamer que l'espoir est intact. La méthode Coué dans toute sa splendeur. Mais, parfois entre les lignes, la vérité sonne comme une évidence. A l'image de cette petite phrase de Pascal Papé, reprise samedi soir en conférence de presse par Julien Dupuy avec un sourire las: "Quand on n'est pas bons, on ferme sa gueule et on travaille". Et pourtant, samedi à Charlety, le Stade français a battu Bayonne..

Eh bien oui,c est la stricte verité,mais la ou ca me rassure un peu,c est que les joueurs ont eu conscience qu ils avaient fait un match de merde!Ca fait le 7eme consecutifs,meme sous Cheika,y a jamais eu autant de purge a la suite!!!!Alors oui fermez la,et BOSSER,hein Mr Laussuq.........

Bah, Beurdeley doit être né avec des hémorroïdes, il est teigneux comme un Orangina rouge ...

Alextri a écrit:

Rugbyrama n'est pas tendre envers le SF :

Stade français-Bayonne: 21-13. Arnaud BEURDELEY

"Nous ne sommes pas une équipe de pipes", avait affirmé jeudi dernier Pascal Papé. Faut-il prendre pour argent comptant tout ce que dit le capitaine du Stade français ? Force est de s'interroger et de constater que l'homogénéité n'est pas la qualité première de l'effectif parisien. Tant s'en faut. En toute objectivité, si certains éléments tirent l'équipe parisienne vers le haut, d'autres l'entraînent vers le bas. Et il suffit d'un, deux ou trois joueurs majeurs absents pour que le club de la capitale ne devienne qu'une formation très (très) moyenne. En clair, dans les conditions actuelles, le Stade français ne mérite pas son rond de serviette à la table des gros cadors du Top 14. Les Parisiens ont beau répéter à ceux qui veulent bien encore les écouter qu'ils ont toujours l'objectif de se qualifier pour les phases finales, ils savent mieux que personne combien la tâche sera complexe, pour ne pas dire irréalisable. Évidemment, il est de bon ton, face caméra, de clamer que l'espoir est intact. La méthode Coué dans toute sa splendeur. Mais, parfois entre les lignes, la vérité sonne comme une évidence. A l'image de cette petite phrase de Pascal Papé, reprise samedi soir en conférence de presse par Julien Dupuy avec un sourire las: "Quand on n'est pas bons, on ferme sa gueule et on travaille". Et pourtant, samedi à Charlety, le Stade français a battu Bayonne..

e toute façon la voix officielle du Stade toulousain et des gros pardessus ne nous aime guère. donc on se tape complètement de l'avis des séides de la Dépeche.

Alextri a écrit:

Rugbyrama n'est pas tendre envers le SF :

Stade français-Bayonne: 21-13. Arnaud BEURDELEY

"Nous ne sommes pas une équipe de pipes", avait affirmé jeudi dernier Pascal Papé. Faut-il prendre pour argent comptant tout ce que dit le capitaine du Stade français ? Force est de s'interroger et de constater que l'homogénéité n'est pas la qualité première de l'effectif parisien. Tant s'en faut. En toute objectivité, si certains éléments tirent l'équipe parisienne vers le haut, d'autres l'entraînent vers le bas. Et il suffit d'un, deux ou trois joueurs majeurs absents pour que le club de la capitale ne devienne qu'une formation très (très) moyenne. En clair, dans les conditions actuelles, le Stade français ne mérite pas son rond de serviette à la table des gros cadors du Top 14. Les Parisiens ont beau répéter à ceux qui veulent bien encore les écouter qu'ils ont toujours l'objectif de se qualifier pour les phases finales, ils savent mieux que personne combien la tâche sera complexe, pour ne pas dire irréalisable. Évidemment, il est de bon ton, face caméra, de clamer que l'espoir est intact. La méthode Coué dans toute sa splendeur. Mais, parfois entre les lignes, la vérité sonne comme une évidence. A l'image de cette petite phrase de Pascal Papé, reprise samedi soir en conférence de presse par Julien Dupuy avec un sourire las: "Quand on n'est pas bons, on ferme sa gueule et on travaille". Et pourtant, samedi à Charlety, le Stade français a battu Bayonne..

Reste à savoir ce qu'il dit de Bayonne mais nous concernant on est pas loin de la vérité pour certains points.

J'ai une dent contre lui donc je ne peux pas être objectif en commentant son billet, mais sur le fond il a hélas parfaitement raison. L'effectif est loin d'être aussi compétitif que ce qu'on a bien voulu croire et extrêmement hétérogène sur la valeur intrasèque des joueurs et sur leur degré de forme affiché.

Je lis souvent les articles de ce Monsieur sur Rugbyrama.
Je n'attendais rien d'autre de sa part. Il fait partie de ceux pour lesquels seul le rugby du sud-ouest
mérite d'être cité.

Là où il m'étonnerait, c'est en écrivant un article élogieux sur la prestation exceptionnelle du RM92.

La Carillonne a écrit:

Je lis souvent les articles de ce Monsieur sur Rugbyrama.
Je n'attendais rien d'autre de sa part. Il fait partie de ceux pour lesquels seul le rugby du sud-ouest
mérite d'être cité.

Là où il m'étonnerait, c'est en écrivant un article élogieux sur la prestation exceptionnelle du RM92.

C'est un pur banlieusard né dans le Val d'Oise. Il n'a franchement rien d'un toulousain. La rédaction de midi olympique est sans doute à Toulouse et inféodé au groupe la Depêche de Jean Michel Baylet mais tous les membres de la rédaction ne sont pas nés dans le Sud Ouest.
Il adore le Racing, il adorait sans doute le Stade Français avant l'ère Cheika, j'imagine très proche de Dominici.
Les joueurs lui claquent la bise. Mais je le trouve faux-cul, il m'agace.

Merci pour ces précisions, désolée je ne savais pas. Comme quoi, il faut toujours réfléchir avant d'écrire des bétises ...

Mais je pense que ce journaliste doit suivre la ligne éditoriale fixée par le rédacteur en chef.

La Carillonne a écrit:

Merci pour ces précisions, désolée je ne savais pas. Comme quoi, il faut toujours réfléchir avant d'écrire des bétises ...

Mais je pense que ce journaliste doit suivre la ligne éditoriale fixée par le rédacteur en chef.

Je pense aussi. Le Midi Olympique n'a jamais essayé de cacher qu'il avait très peu d'estime pour nous.

en même temps c'est un peu une insulte à la profession que de qualifier de journaliste un type qui écrit des papiers dans cette grosse merde. Le mec a un style digne d'un retardé de 14 ans.....son histoire rond de serviette à la table des cadors. Jamais un patron laisse sortir ça dans la presse

Si comme prévu, je fais un Master de Journalisme Sportif l'an prochain, j'espère qu'on m'apprendra à ne pas prendre exemple sur cette conception du journalisme!

babou36 a écrit:

Je pense aussi. Le Midi Olympique n'a jamais essayé de cacher qu'il avait très peu d'estime pour nous.

Oui c'est certain, mais en même temps on gagne les matchs avec les avants et le buteur. Il y a un problème récurrent des 3/4 entre le 11 et le 14 il y a trop de flou pour prétendre décrocher le bouclier de Brennus. Pourvu que ça ne dure pas !