Je pense que c'est surtout la conjonction de différents intérêts.
Le rugby a besoin d'avoir des équipementiers qui soient à l'écoute, d'exprimer des besoins très spécifiques et les (gros) équipementiers ne peuvent faire ça que si ils ont des volumes de vente suffisantes. Par contre, les petits ont besoin de figure de prou, de montrer qu'ils sont capables de répondre à des besoins d'équipes de haut niveau mais sans avoir à répondre à des besoins trop forts (le SF sorti de Paris est assez limité en terme de ventes).