Revue de presse

De toute manière +2 jiff sur le match du fait de delbouis et macalou en sélection

kevin78711 a écrit:

De toute manière +2 jiff sur le match du fait de delbouis et macalou en sélection

Exactement, t'autant + que nous sommes très bien au compteur générale à J15, 18,87 JIFF de moyenne pour 16 attendus ; juste derrière le grand ST qui a eu son compteur JIFF gonflé artificiellement pendant la Tournée d'automne déja...

cogiela a écrit:

kevin78711 a écrit:

De toute manière +2 jiff sur le match du fait de delbouis et macalou en sélection

Exactement, t'autant + que nous sommes très bien au compteur générale à J15, 18,87 JIFF de moyenne pour 16 attendus ; juste derrière le grand ST qui a eu son compteur JIFF gonflé artificiellement pendant la Tournée d'automne déja...

ouah !!! j'avais pas regardé depuis pas mal à de temps. Nous sommes à 43 d'avance Il s'est pas trompé le mec de allrugby ?

Alextri a écrit:

Si Arrate qui quitte le club bientôt est préféré à Odogwu, celui-ci ne devrait pas rester non plus.

Dommage aussi de ne pas voir Huguen

A priori Quesada qui fait les feuilles n'en a pas grand chose à faire puisqu'il quitte le club.
Huguen oui, il a tout de même tenu 2x80 minutes en challenge avec deux belles prestations.

cogiela a écrit:

kevin78711 a écrit:

De toute manière +2 jiff sur le match du fait de delbouis et macalou en sélection

Exactement, t'autant + que nous sommes très bien au compteur générale à J15, 18,87 JIFF de moyenne pour 16 attendus ; juste derrière le grand ST qui a eu son compteur JIFF gonflé artificiellement pendant la Tournée d'automne déja...

Ce n'est plus un sujet pour nous le compteur JIFF cette saison.

Après les matchs du week end :


La liste des 42 joueurs convoqués par Fabien Galthié :

Piliers : Uini Atonio, Cyril Baille, Clément Castets, Sipili Falatea, Mohamed Haouas, Reda Wardi.

Talonneurs : Gaëtan Barlot, Julien Marchand, Teddy Baubigny.

Deuxièmes lignes : Bastien Chalureau, Thibaud Flament, Thomas Lavault, Romain Taofifenua, Paul Willemse.

Troisièmes lignes : Grégory Alldritt, Alexandre Bécognée, Paul Boudehent, Yacouba Camara, Dylan Cretin, François Cros, Anthony Jelonch, Sékou Macalou, Charles Ollivon.

Demis de mêlée : Baptiste Couilloud, Antoine Dupont, Nolann Le Garrec.

Demis d’ouverture : Antoine Hastoy, Matthieu Jalibert, Romain Ntamack.

Ailiers : Louis Bielle-Biarrey, Ethan Dumortier, Damian Penaud, Matthis Lebel, Gabin Villière.

Centres : Pierre-Louis Barassi, Julien Delbouis, Gaël Fickou, Emilien Gailleton, Yoram Moefana.

Arrières : Romain Buros, Melvyn Jaminet, Thomas Ramos.

en Rose les parisiens

en gras les 2 nouveaux

Le DTN indique qu’il attend une possible réclamation… Le ferra-t-on pour cet essai invalidé à chaussée de Charrabas ?
7 points de plus, c’est un nul et 2 points au compteur. Ça peut compter.

dubois51 a écrit:

Le DTN indique qu’il attend une possible réclamation… Le ferra-t-on pour cet essai invalidé à chaussée de Charrabas ?
7 points de plus, c’est un nul et 2 points au compteur. Ça peut compter.

Est ce que c'est possible ?? Y a deja eu jurisprudence en Top 14 ??

Si on se réfère à l'exemple de l'EDF à la CDM sur le match coontr ela Tunisie, j'ai l'impression que jamais les instances ne se déjugerons à postériori...



Même Quesada semble s'etre fait une raison lorsqu'il est interviewer dans le Canal Rugby Club...

Coup de poing dans l'eau!

mauleon a écrit:

Coup de poing dans l'eau!

Prenons une épée alors...

Totor a écrit:

mauleon a écrit:

Coup de poing dans l'eau!

Prenons une épée alors...

C'est une expression basque Totor.

cogiela a écrit:

Totor a écrit:

mauleon a écrit:

Coup de poing dans l'eau!

Totor a écrit:

Prenons une épée alors...

C'est une expression basque Totor.

Les basques n'ont pas encore la technologie du bronze ?!

Tant que c est pas au visage

Coup d'épée dans l'eau? oui et non. Certes, on ne récupèrera aucun point sur cette affaire. Mais on peut cependant imaginer après une réclamation une sanction de l'arbitre central, arbitre professionnel (voire des deux) et l'assurance de ne plus croiser Pierre Brousset d'ici longtemps.
Mais qu'attendre d'un toulousain?

loubiere a écrit:

Coup d'épée dans l'eau? oui et non. Certes, on ne récupèrera aucun point sur cette affaire. Mais on peut cependant imaginer après une réclamation une sanction de l'arbitre central, arbitre professionnel (voire des deux) et l'assurance de ne plus croiser Pierre Brousset d'ici longtemps.
Mais qu'attendre d'un toulousain?

C'est surtout Charabas qu'on éviterait (ce qui à mon sens serait une très bonne chose), Brousset n'y peut pas grand chose sur le coup. Par contre sur le rouge contre Tisley, il voit juste avant la retenue du maillot contre Etien, en parle en analysant la video en disant que ca vaut jaune, et ne le met pas...sauf si c'était déja Tisley, je ne comprends pas.

Moon1475 a écrit:

C'est surtout Charabas qu'on éviterait (ce qui à mon sens serait une très bonne chose), Brousset n'y peut pas grand chose sur le coup. Par contre sur le rouge contre Tisley, il voit juste avant la retenue du maillot contre Etien, en parle en analysant la video en disant que ca vaut jaune, et ne le met pas...sauf si c'était déja Tisley, je ne comprends pas.

Opinion exactement inverse. Charabas a commis une erreur (aussitôt rectifiée dans l'action puisqu'il baisse aussitôt son drapeau et court le long de la ligne de touche). Mais Brousset avait le temps de la réflexion et a arbitré (à domicile?) contre la règle la plus élémentaire (le jeu s'interrompt seulement au coup de sifflet de l'arbitre de champ). Et les arguments fallacieux du style "les perpignanais ont arrété de courir?.." n'ont aucun sens. Quand il y a un blessé sur le terrain et que le staff médical est auprès de lui, ça n'empêche personne de continuer à jouer (voire même pour certains vicieux de jouer pas loin du blessé pour gêner la défense).

J'ai également un problème sur l'essai d'Etien, nous avons un avantage sur ballon porté dans les 22 suite à une énième faute perpignanaise, l'arbitre dit en signalant l'avantage "On est sur un maul dynamique", qui signifie évidemment qu'il y a jaune.
Bref passe au pied, essai en coin impossible à transformer, donc 5 points.
Et évidemment pas de carton jaune comme si l'essai annulait la faute de Perpignan.
Un arbitre cohérent aurait tout de même sorti le jaune pour Perpignan, il a eu aucun mal à nous en mettre deux pour des fautes techniques.
J'y vois un clair manque de courage d'affronter les imbéciles sifflets catalans et c'est problématique.

XV de France - L'interview décalée de Sekou Macalou : "À l’époque, on ne m’a pas compris…"

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Publié le 02/02/2023 à 19:54

Sekou Macalou - Troisième ligne ou ailier du XV de France Et si on parlait de tout, sauf de rugby ? Cette semaine, celui qui se fait rare dans les médias a accepté de se prêter au jeu de l’interview décalée. Il raconte ici son rêve d’enfant de devenir footballeur, les insultes racistes subies lorsqu’il jouait à Sarcelles, son club formateur, son désir de dîner un jour avec Kylian Mbappé ou Lebron James ou encore son regret de ne pas avoir été compris il y a quelques années lorsqu’il n’était plus sélectionné en équipe de France en raison d’un épisode un peu sombre de l’histoire des Bleus. Ses mots sont rares, alors suivez le guide.

Quel était votre rêve quand vous étiez gamin ?
Mon rêve, c’était de devenir footballeur professionnel. À Sarcelles, tout le monde jouait au foot. Je n’ai commencé le rugby que lorsque j’avais 10 ans.
Quel était votre surnom lorsque vous étiez petit ?
Certains m’appelaient "Mac Sekou" et disaient que j’étais le plus écossais des Maliens. Mais sinon, je n’avais pas vraiment de surnom.
Si vous deviez choisir un héros de jeunesse ?
Superman ! J’aimais bien les Marvels lorsque j’étais petit.
Sur quoi vous chambrait-on lorsque vous étiez enfant ?
À l’école de rugby, je me faisais souvent chambrer parce que, lorsque j’avais le ballon, je ne faisais jamais de passe. J’étais un croqueur de ballons. Mais bon, j’avais la chance d’aller un peu plus vite que tout le monde à l’époque.
Quel est votre péché mignon ?
Tous les jours, je me bois mon petit chocolat chaud. Comme les enfants (rires).
Avez-vous une phobie ?
Je déteste l’avion. Je le prends parce que je n’ai pas le choix, mais au décollage, comme à l’atterrissage, je me cramponne au siège et j’attends que ça se passe.
Quel est votre film culte ? J’ai adoré "Fight club". J’aime bien l’ambiance qui règne dans ce film.
Quelle est votre série du moment ?
La dernière qui m’a marqué, c’est "Power". C’est l’histoire d’un jeune dont le père était trafiquant de drogue et qui essaie de s’en sortir. Mais il est rattrapé par les démons familiaux et plonge dans le trafic lui aussi. L’histoire se déroule à New-York. J’ai vraiment bien aimé. D’ailleurs, si j’accroche sur une série, je suis capable d’enchaîner les épisodes sans m’arrêter.
Quel serait votre concert idéal ?
Je suis dégoûté car ça ne pourra jamais se faire, mais j’aurais adoré voir Michaël Jackson sur scène. C’était un showman de dingue. Plus jeune, j’écoutais souvent ses chansons. Et c’est encore vrai aujourd’hui.
Quel est votre animal de compagnie ?
Je n’ai plus de serpent comme par le passé. Aujourd’hui, j’ai un chat et un chien. C’est plus conventionnel.
Si vous pouviez choisir trois personnes à dîner…
Franchement, ce serait un "kiffe" de pouvoir me faire un dîner avec Kylian Mbappé et Lebron James car ce sont deux immenses champions. J’aime vraiment tous les sports. Ce serait l’occasion d’échanger avec eux. Et puis, pour le troisième, je dirais Jason Statham, un acteur britannique que j’aime bien.
Si vous pouviez mettre une gifle à qui vous voulez, sans que ça ne prête à conséquences, à qui l’infligeriez-vous ?
Ibou Diallo (troisième ligne du Racing 92), juste pour le plaisir. En souvenir de nos années sarcelloises.
Quel est l’endroit sur terre où vous vous sentez le mieux ? Chez moi, je suis très casanier.
Quel est votre plus gros craquage ?
Il m’est arrivé d’acheter une paire de chaussures dont le prix était très élevé. Sur le coup, je me suis dit que ce n’était pas très raisonnable, mais j’avais envie de me faire plaisir.
Avec quels joueurs partiriez-vous pour un week-end de fêtes ?
Cameron Woki, Ibou Diallo, Yoann Tanga et Dany Priso. Avec eux, je suis sûr de passer un bon moment.
Quelle est la pire insulte que vous ayez subie ?
C’était une insulte raciste lors d’un tournoi à Strasbourg lorsque j’étais petit et que je jouais à Sarcelles. Ça m’avait marqué car c’était un joueur de mon âge qui avait proféré l’insulte. Mais bon, je préfère ne pas y prêter attention.
Quel est votre plus gros défaut ?  
Je suis têtu… Je ne suis pas le genre à lâcher. Quand j’ai une idée en tête, j’aime bien aller au bout.
Paris ou Sarcelles ?
Sarcelles, évidemment !
L’endroit idéal pour les vacances ?
Bali. J’ai eu la chance d’y aller. J’ai adoré.
Un fait d’actualité vous a-t-il marqué ?
Les attentats à Paris, notamment celui du Bataclan. Ça m’avait franchement marqué. Dans les jours qui ont suivi, il y avait vraiment une atmosphère étrange dans les rues de la capitale. Un sentiment bizarre, difficile à décrire.
Avez-vous un rituel d’avant-match ?
Aucun.
Votre rêve le plus fou ?
Je préfère le garder pour moi.
Un regret ?
J’en ai plusieurs, mais je dirais surtout de ne pas avoir été sélectionné en équipe de France durant quelque temps. Je regrette les raisons pour lesquelles je n’ai pas été sélectionné (après l’épisode d’Edimbourg en 2018, où plusieurs joueurs du XV de France, sortis en discothèque malgré l’interdiction de Jacques Brunel, avaient été entendus par la police écossaise suite à une plainte d’une jeune fille, les policiers avaient alors confondu Yacouba Camara et Sekou Macalou. Et l’on dit que le sélectionneur n’avait pas apprécié le fait que Macalou ne se manifeste pas, N.D.L.R.). On ne m’a pas compris à l’époque. Mais je n’ai pas envie d’en dire plus. C’est du passé.
Si vous n’aviez pas été Sekou Macalou, qui auriez-vous aimé être ?
Kylian Mbappé, sans hésitation. C’est un truc de "ouf" ce qu’il fait. Que ce soit sur le terrain ou en dehors, j’apprécie ce qu’il fait. Lorsqu’il y a eu la polémique après les propos du président de la FFF (Noël Le Graët) sur Zidane, il a été le seul à prendre position. C’est la classe. Et puis, j’adore le foot.
Ce que vous aimeriez qu’on dise de vous le jour de votre mort ?
Je ne sais pas (rires). Il était gentil… Non, en fait, je préférais que les gens disent de moi que j’étais sincère. C’est pour moi le plus important.

Propos recueillis par Arnaud Beurdeley

PORTRAIT. XV de France : Laurent Labit, l’âme du collectif

Ce dimanche 5 février, Laurent Labit entame son quatrième et dernier Tournoi des 6 Nations en tant que responsable de l’attaque du XV de France. Après la Coupe du monde 2023 (8 septembre – 28 octobre), il rejoindra le Stade Français. À 54 ans, l’ancien arrière, qui a entamé sa carrière d’entraîneur en 2004, fait preuve d’une belle longévité. Cette dernière est le fruit d’une passion pour les aventures humaines.

Ouest-France Ewen RENOU. Publié le 04/02/2023 à 06h54


Pendant le Tournoi des 6 Nations 2023 (4 février – 18 mars), Ouest-France propose une série sur les adjoints de Fabien Galthié au XV de France. Le principe est simple : à chaque match des Bleus, un portrait sur l’un de ces techniciens. Avant le déplacement en Italie ce dimanche 5 février (16 h), Laurent Labit, en charge de l’attaque, ouvre le bal.

Pour les aficionados de rugby, Laurent Labit s’est installé comme un visage familier. Voilà désormais presque quarante ans, sans discontinuer, que le natif de Revel (Haute-Garonne) trimballe sa bonhomie et son accent chantant sur les pelouses hexagonales. D’abord comme joueur, puis, en 2004, il a troqué son tee de buteur contre le sifflet d’entraîneur.

À 54 ans, l’actuel responsable de l’attaque des Bleus avance toujours avec les mêmes carburants : une passion inaltérable pour l’ovalie et un goût prononcé pour les épopées collectives. Ajoutez à cela un œil aiguisé sur le jeu offensif, et vous êtes proche de la recette magique de sa longévité.

« Ils arrivaient à fédérer une sorte de famille »

Avant de rejoindre le staff du XV de France à l’été 2019, il a longtemps peaufiné sa méthode aux côtés de Laurent Travers. À partir de 2005, ils ont formé l’inimitable duo des « Lolo », qui a joué ses meilleurs tours à Montauban (2005-2009), Castres (2009-2013) puis au Racing 92 (2013-2019). Les deux hommes, qui se sont toujours partagé la casquette d’entraîneur en chef, ont basé leur succès sur des groupes très soudés et des joueurs de confiance.

« Ils arrivaient à fédérer une sorte de famille autour d’eux et à créer une osmose dans le club, précise l’ancien ailier Marc Andreu, qui a évolué sous leurs ordres de 2009 à 2018. Grâce à ça, les joueurs se sentaient poussés pour réussir. » « Ils réussissaient à créer des vrais groupes, embraie Matthias Rolland, ancien deuxième ligne qui a vu les prémices du binôme à Sapiac. Ils ont des grandes qualités pour mettre tout le monde dans un projet commun, même ceux qui jouent moins, et optimiser le collectif qu’ils ont sous la main. »

Sur le papier, le gang des Laurent se dispatchait les tâches ainsi : les arrières pour Labit, les avants pour Travers, la stratégie et les causeries d’avant-match pour les deux. Au quotidien, « Toto (Travers) ​était très cadré, Lolo amenait plus de conneries, ils se complétaient très bien », résume Rémi Talès, qui les a suivis du Tarn à la banlieue parisienne.

« Laurent a toujours eu un petit humour narquois qui pouvait faire dégoupiller ses adversaires », enchérit José Diaz, son ami depuis leur passage à Revel, au cœur des années 1980. Après son passage sur le banc, l’ancien numéro 15 a conservé son côté « chambreur ». À l’aise au milieu de ses joueurs, ce sont désormais ces derniers qui sont les victimes de ses espiègleries.

« Il nous taquinait, il n’aimait pas perdre »

« Lors des entraînements, il jouait au tennis ballon avec nous, se rappelle Rémi Talès, 24 sélections avec les Bleus. Il nous taquinait, il n’aimait pas perdre. Quand il manquait quelqu’un, il jouait aussi aux cartes avec nous. Cela créait de la proximité entre les joueurs et le staff. » « On déconnait pas mal lors des repas à Castres, abonde le facétieux Marc Andreu, resté très proche des deux techniciens. On leur mettait de la moutarde sur les claquettes ou ce genre de choses. C’était toujours fait dans l’amusement, gentiment. On pouvait les « brancher », ils restaient proches de nous. Dans ces moments, il n’y avait pas de hiérarchie, mais dans le rugby, elle existait. Ils arrivaient à garder cet état d’esprit tout en préservant une limite à ne pas déborder. »

Avec cette bonne ambiance et ce cadre défini, les deux compères sont parvenus à souder leurs effectifs et à les emmener jusqu’aux sommets. Partout où ils sont passés, ils ont gagné. En 2006, ils sont sacrés champions de Pro D2 ; en 2013, ils remportent leur premier Bouclier de Brennus avec Castres, avant de le soulever à nouveau, trois ans plus tard, avec le Racing 92.


L’an passé, Laurent Labit a ajouté un Grand Chelem à son palmarès. « La confiance joueur – entraîneur, c’est ce qu’il cherche en premier, pointe José Diaz. Dans le style, il fonctionne avec son effectif comme avec ses amis. Il aime les gens et essaie de les mettre à l’aise. Quand c’est compliqué avec quelqu’un, il parvient à mettre de l’eau dans son vin. C’est grâce à ces liens qu’il arrive à avoir des résultats depuis tant d’années. »

Aux côtés de Fabien Galthié, dont il a été le coéquipier à Colomiers, Laurent Labit, amateur de rosé, bouclera son expérience internationale après la Coupe du monde. Ensuite, il prendra les rênes des Roses du Stade Français, avec Karim Ghezal. S’ils veulent échapper aux brimades de leur nouveau coach, il reste encore quelques mois aux Parisiens pour se perfectionner au tennis ballon.

Ça donne envie !
Le fait que tant de joueurs les aient suivi de Montauban à Castres et de Castres au Racing est assez révélateur des liens qu’ils ont pu créer.

S'il peut continuer à construire ce groupe du STADE FRANCAIS qui commence à se dessiner cette année tant mieux. Cette article ne donne que du positif sur le choix de Wild.

Paul Gustard, entraîneur de la défense du Stade Français, après la victoire 12-6 contre l'UBB : « C'était un match très physique, tactique et très dur. On devait réagir après la défaite de la semaine contre Perpignan, contre qui on n'a pas pris de points. On a pris les quatre points et c'était le plus important ce soir (dimanche).

En première période, on a été beaucoup pénalisés par l'arbitrage avec huit pénalités contre nous, c'est plutôt inhabituel. Après la pause, on a été plus costaud, on a mieux défendu. C'était difficile d'attaquer car on n'a pas suffisamment maîtrisé le centre du terrain, et l'opposition était très forte avec un jeu au pied très long de la part de Bordeaux qui a de bonnes statistiques dans ce secteur. »