Revue de presse

Merci Ivan

Merci Ivan.

L'article sur les mutations est fort intéressant. Je suis vraiment favorable à les inclure dans le salary cap : ces dernières années, elles ont explosé et, comme le dit bien l'article, ça pousse les joueurs au caprice s'ils savent qu'ils peuvent être transférer à tout moment.
Nous faisons partie des clubs qui avons amorcé ça et je pense que globalement, tout le monde est perdant : le club qui dépense beaucoup, le joueur qui est poussé à faire son enfant gâté, etc.

Quand on fait le point, c'est
Fickou du ST vers chez nous, puis de chez nous au Racing
Maestri de La Rochelle vers chez nous
Pesenti de Pau au Racing, puis du Racing à chez nous,
Kolbe, de Toulouse à Toulon
Woki de l'UBB au Racing
etc.

ça fait beaucoup, et dans tous ces exemples, l'apport sportif reste à prouver !

C'est aussi le fait d'être au taquet sur le salary cap qui nous pousse à former des joueurs et à les lancer dans le grand bain comme MAE, Barré ou encore le jeune géorgien.
Il faut que les salaires du Top 14 soit revu à la baisse ou du moins, reste au niveau actuel.

Donc limitation du salary cap + englober les mutations est une bonne chose (à condition bien sûr qu'il y ait une vraie instance qui contrôle que les clubs ne trouvent pas des combines)

d inclure les indemnites de rupture de contrat dans le SC peut aussi desservir certains joueurs .
si le joueur pour diverses raisons ne se sent pas bien dans son club , il devra honorer son contrat jusqu au bout .
incompatibilite d humeur avec d autres personnes , problemes de famille .....on voit ca tous les jours .
puis souvent une rupture de contrat arrange vivement les affaires financieres de certains clubs .
toulouse avec kolbe (1,500000 euros ) le BO a ramasse avec hirigoyen , peyresblanques et saili 1,4 millions d euros .
la baisse du SC peut aussi niveler toutes les equipes vers le bas , brive ou pau pourront pretendre jouer le brennus .
les stars seront regionales et le nombre de spectateurs diminuera .
les stars attirent , les spectateurs suivent et les diffuseurs paient cher pour cela .
a trop vouloir interdire et reglementer , on risque de fortes desillusions .

je le sens moyen ce match je sais pas pourquoi.


surement car :

- je n'ai plus l'habitude de regarder le haut du tableau
- qu'en cas de victoire nous serons 2 au 1/3 du championnat et pas simplement dans le top 6
- et que même en cas de défaite lors match suivant ( si on gagne contre Brive) on restera encore dans le TOP 6
- et que si on gagne on aura 13 points d'avance sur les deux derniers ...

bref je n'arrive pas à y croire car ...ben....on est le Stade.....et qu'on merde tout depuis tellement longtemps.

Je le sens pas car j'ai peur qu'on merde tout

c'est grave docteur

imjustlooking a écrit:

je le sens moyen ce match je sais pas pourquoi.


surement car :

- je n'ai plus l'habitude de regarder le haut du tableau  
- qu'en cas de victoire nous serons 2 au 1/3 du championnat et pas simplement dans le top 6
- et que même en cas de défaite lors match suivant ( si on gagne contre Brive) on restera encore dans le TOP 6  
- et que si on gagne on aura 13 points d'avance sur les deux derniers ...

bref je n'arrive pas à y croire car ...ben....on est le Stade.....et qu'on merde tout depuis tellement longtemps.

Je le sens pas car j'ai peur qu'on merde tout  

c'est grave docteur  


 

Si toi, t'y crois pas, qui va y croire ?

Mauléon ??

Top 14 : en dépression, le pilier du Stade Français Paul Alo-Emile se soigne et « va de mieux en mieux »

Quelle stratégie social ads pour le Stade Français Paris ?

Ivan75 a écrit:

Top 14 : en dépression, le pilier du Stade Français Paul Alo-Emile se soigne et « va de mieux en mieux »

Quelle stratégie social ads pour le Stade Français Paris ?

Hummm... Alo-Emile reparti en Australie. Je crains qu'on ne le revoie pas.

dubois51 a écrit:

Hummm... Alo-Emile reparti en Australie. Je crains qu'on ne le revoie pas.

On le saura assez vite. Il est en fin de contrat en juin (et ce serait triste qu'il finisse ainsi).

Ivan75 a écrit:

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La mise en parallèle avec cet article de 2017 est assez savoureuse :

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Notre ami Olivier François sort aujourd'hui un article sur Nadir Megdoud dans "Le Parisien" :

Top 14 : Nadir Megdoud, de Brive au Stade Français, un parcours aux contre-pieds fulgurants
L’ailier du Stade Français, qui reçoit Brive ce samedi à Jean-Bouin (17 heures), a quitté le rugby professionnel pendant deux saisons, alors qu’il avait signé son premier contrat avec le club corrézien.

Par Olivier François
Le 22 octobre 2022 à 10h30

Sur le terrain, ses crochets sont fulgurants. En dehors, ses changements de pied sont tout aussi déroutants et laissent derrière eux la trace d’un homme refusant les murs trop serrés d’une vie planifiée à l’avance. Nadir Megdoud n’est pas un rugbyman comme les autres. Ses motivations, ses ressorts profonds sont différents et ses aspirations varient au fil d’un temps dont il ne veut pas perdre une miette.

Aujourd’hui, à 25 ans, il est heureux, il se sent pousser des ailes et il s’amuse sous le maillot du Stade Français. Il sourit même au moment de recevoir, ce samedi (17 heures) dans un stade Jean-Bouin dont il n’aurait jamais imaginé fouler la pelouse, le CA Brive, le club de la cité corrézienne où sa carrière professionnelle a pris son envol avant de s’arrêter net. « J’ai pris conscience de beaucoup de choses là-bas, glisse-t-il. J’ai su que je ne pourrai jamais considérer le rugby autrement que comme une passion. »

« On s’entraînait trois soirs par semaine, on jouait pour le plaisir »

Celle qu’il avait perdue justement pour s’être expatrié un peu trop loin, un peu trop vite. « Mon univers, c’était la grande ville, mes proches, et là, je me retrouvais à ne faire que du rugby, sans voir personne », raconte Nadir Megdoud en se plongeant dans son enfance à Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Arrivé au rugby en suivant un grand cousin, il s’inscrit à Créteil-Choisy et ses qualités ne manquent pas d’attirer les regards sur lui. À 15 ans, il file dans l’Essonne, à Massy, pépinière de talents, et passe son bac en parallèle au pôle espoirs du lycée Lakanal, à Sceaux.

Contacté par le centre de formation de Brive, il y signe son premier contrat pro au bout d’un an et découvre le Top 14 où ses débuts sont prometteurs. « J’y ai passé deux années, explique-t-il. J’avais un contrat de trois saisons supplémentaires, mais ça n’allait pas. La vie ne me plaisait pas. Le rugby me soûlait. Je ne faisais que ça, il n’y avait rien d’autre. » Nadir Megdoud retourne s’installer chez eux à Choisy-le-Roi et joue en Fédérale 2 à Beauvais, dans l’Oise, où il retrouve des copains. « C’est sûr que financièrement, ce n’était pas la même vie, mais peu m’importait, souligne-t-il. On s’entraînait trois soirs par semaine, on jouait pour le plaisir. Je me suis inscrit en licence de langue en littérature et civilisation arabe, ce que j’avais toujours voulu faire. »

La joie de vivre revient. Le goût du rugby aussi, tout juste contrarié par la pandémie de Covid-19 et le premier confinement qui mettent à l’arrêt tous les championnats. Contacté par son premier entraîneur à Brive, Nicolas Godignon, qui vient de rejoindre Rouen en Pro D 2, il accepte un contrat de deux ans. « La compétition me manquait », sourit-il.

« Fier » de jouer pour le XV d’Algérie, petite nation du rugby

À peine a-t-il le temps de prendre ses marques qu’il est approché par Thomas Lombard, le directeur général du Stade Français, puis par Gonzalo Quesada, son manager. « C’était le rêve pour moi, s’exclame Nadir Megdoud. C’est le club de mon enfance, celui que j’ai toujours supporté. J’allais voir des matchs avec mon oncle. Paris, c’est ma ville. »

Il paraphe un contrat de deux saisons plus une en option et suit un BTS de diététique. « Ma licence de civilisation, je l’ai passée par plaisir, mais ensuite je me suis posé des questions et il y a un an, j’ai trouvé ce que je voulais faire plus tard, précise-t-il. Je veux travailler dans le suivi du sport. Quand je l’ai quitté à 20 ans, je me suis rendu compte que le rugby professionnel, ce n’était pas le monde normal, alors je veux préparer la suite. »



Cette façon de voir l’a aussi poussé à accepter de porter les couleurs du XV d’Algérie alors qu’il avait fréquenté les équipes de France chez les jeunes et que sa double nationalité lui permettait de choisir. « J’ai hésité mais je ne regrette rien, au contraire je suis fier, lance-t-il. D’abord, je ne sais absolument pas si j’aurais pu jouer avec les Bleus, car c’est un autre niveau. Mon inclination va pour la France, c’est mon pays et je me suis dit que l’Algérie, qui est une sous-nation dans le rugby, ça allait être la galère. Mais justement, ce qui me rend fier, c’est que ce n’était pas le choix le plus facile et que je n’y gagne rien. J’aide juste une petite fédération qui fait tout ce qu’elle peut. »

Une sélection qui a bien failli se qualifier pour la Coupe du monde 2023 en parvenant jusqu’en demi-finale de la Coupe d’Afrique, contre le Kenya en juillet dernier. « Disputer le Mondial en France et peut-être dans la poule des Bleus, ça aurait été drôle », conclut Nadir Megdoud. Le destin n’a pas voulu de ce clin d’œil.

dans l'article du MIDOL , vous comprenez comment et vous feriez quoi à la place de de Quesada :

L.L.
"la deuxième chose que je veux absolument faire, c'est avoir une entrevue avec Gonzalo.
..., c'est pourquoi je veux absolument discuter avec lui pour voir comment je peux travailler, comment il me laissera travailler ou pour être plus précis comment il voudra que je travaille."

arckoy a écrit:

dans l'article du MIDOL , vous comprenez comment et vous feriez quoi à la place de de Quesada :

L.L.
"la deuxième chose que je veux absolument faire, c'est avoir une entrevue avec Gonzalo.
..., c'est pourquoi je veux absolument discuter avec lui pour voir comment je peux travailler, comment il me laissera travailler ou pour être plus précis comment il voudra que je travaille."

Ben quand tu sais que tu vas reprendre à terme un groupe il est utile de commencer à échanger avec les joueurs et l'encadrement actuel sans attendre de prendre ses fonctions. Par contre ça nécessite d'être cadré pour ne pas perturber la saison en cours et ménager la susceptibilité de l'entraîneur actuel.

Si c'est fait en bonne intelligence en posant des règles claires, tout le monde a intérêt à ce que ça se passe bien. Quesada a déjà eu l'occasion de reprendre des groupes dont il doit bien en avoir conscience.

Hoover77 a écrit:

arckoy a écrit:

dans l'article du MIDOL , vous comprenez comment et vous feriez quoi à la place de de Quesada :

L.L.
"la deuxième chose que je veux absolument faire, c'est avoir une entrevue avec Gonzalo.
..., c'est pourquoi je veux absolument discuter avec lui pour voir comment je peux travailler, comment il me laissera travailler ou pour être plus précis comment il voudra que je travaille."

Ben quand tu sais que tu vas reprendre à terme un groupe il est utile de commencer à échanger avec les joueurs et l'encadrement actuel sans attendre de prendre ses fonctions. Par contre ça nécessite d'être cadré pour ne pas perturber la saison en cours et ménager la susceptibilité de l'entraîneur actuel.

Si c'est fait en bonne intelligence en posant des règles claires, tout le monde a intérêt à ce que ça se passe bien. Quesada a déjà eu l'occasion de reprendre des groupes dont il doit bien en avoir conscience.

Vu le contexte, je ne vois pas comment Quesada va pouvoir refuser ( sinon Wild le vire avant ), mais je ne vois pas comment ça va pouvoir etre fait en bonne intelligence.

Imaginons que tu laches ton appart le 30 juin, avec le proprio qui a décidé de ne pas renouveler ton bail et d'y mettre un autre locataire à ta place. Et que ce même locataire demande à passer de temps en temps pour voir l'aménagement de ses futurs meubles et te demander quelques conseils ?  

Je n'apprécie pas spécialement Quesada mais il aurait le droit d'avoir un chouia le démon non

NB : Pour le coup soit on le vire tout de suite soit on le laisse faire sa saison. Mais faut pas non plus le prendre pour un jambon

johnantony75 a écrit:

Vu le contexte, je ne vois pas comment Quesada va pouvoir refuser ( sinon Wild le vire avant ), mais je ne vois pas comment ça va pouvoir etre fait en bonne intelligence.

Imaginons que tu laches ton appart le 30 juin, avec le proprio qui a décidé de ne pas renouveler ton bail et d'y mettre un autre locataire à ta place. Et que ce même locataire demande à passer de temps en temps pour voir l'aménagement de ses futurs meubles et te demander quelques conseils ?  

Je n'apprécie pas spécialement Quesada mais il aurait le droit d'avoir un chouia le démon non

NB : Pour le coup soit on le vire tout de suite soit on le laisse faire sa saison. Mais faut pas non plus le prendre pour un jambon

Un point important à traiter rapidement: les prolongations (ou non) de contrat. Logique que Labit ait accès aux joueurs et au staff, logique qu'il en demande la "permission" (ou la manière de faire) à Quesada, voire son avis sur un tel ou un tel.
De même qu'il n'attendra pas le 1er juillet (date de fin de contrat de Quesada) pour avoir des entretiens, élaborer la prog de la première partie de championnat, identifier d'éventuels manques ou ajustement etc.. avec les membres du staff. Et ça en se fait sûrement pas dans le dos de leur patron actuel.
Je ne sais pas si tu as eu l'occasion de laisser ta place de manager à un autre avec un préavis assez conséquent (ça m'est arrivé) mais c'est souvent comme ça que les choses se passent entre gens intelligents. Dans l'intérêt premier de l’organisme.
N'oublie pas non plus qu'il sera payé jusqu'à l'été 2024. Aucune raison de faire la tête (surtout s'il rejoint Cheika).

J’ai une question qui me taraude depuis quelques semaines : qui va diriger opérationnellement l’équipe entre juillet et octobre voire novembre ?
Quesada sera parti, Sempere et Arias ne sont pas sûrs de rester et je ne suis pas sur qu’ils aient les épaules pour gérer l’équipe seuls (on l’a vu il y a quelques saisons). Et la période de préparation est très importante.
Cela veut-il dire qu’on va vivre 4 à 5 mois sans tête dirigeante de l’équipe ?

Ca sera le staff choisi par labit.et la prepa physique sont fait par des specialistes.
C est pas la meilleure des chose,c est sure,mais bon,on verra bien

L’opinion du Midol : Paris face à la théorie du complot...

Publié le 22/10/2022 à 19:05


Perpignan humilié, Pau balayé en vingt minutes et maintenant Brive exécuté sans grand brio, voilà le bilan du Stade français depuis la déflagration vécue en interne en raison de la révélation dans ces colonnes de l’arrivée de Laurent Labit et Karim Ghezal pour prendre en main le projet sportif la saison prochaine en lieu et place du technicien argentin Gonzalo Quesada.

Trois matchs, trois victoires qui laissent penser à une opération de soudage. Comme si la période agitée avait resserré les liens d’un groupe qui végète depuis plusieurs années – exception faite de la saison 2020/2021 - dans le ventre (très) mou du classement du Top 14. Comme si le mal venu de l’extérieur avait fait du bien à l’intérieur. On peut toujours y croire… Peut-être y a-t-il, à tout dire, une part de vérité dans cette opération de « com ». Qui sait ? Seuls contre tous et surtout face à ces vilains journalistes accusés de tous les maux, dont le seul souci ne serait que de déstabiliser l’équipe en colportant rumeurs et « blabla ». Et puis, on peut aussi penser que le Stade français vient de battre trois équipes qui ont plus de chance de lutter jusqu’au bout pour ne pas choper l’une des deux dernières que de jouer la phase finale. On est aussi en droit d’affirmer que le jeu parisien n’a rien d’abouti malgré ce qu’on essaie de nous vendre. En témoigne cette dernière rencontre face à Brive. Certes, de nombreux points positifs sont à souligner, notamment la conquête et la défense sur lesquelles les Stadistes se sont largement appuyés pour s’imposer. Mais s’ils ne parviennent pas à hausser leur niveau de jeu, les deux prochains déplacements à Montpellier et à Toulouse pourraient bien les ramener à la réalité. Encore que, ces deux dernières équipes seront amputées de leurs internationaux… Ce qui pourrait bien renforcer la théorie du complot.

Arnaud Beurdeley

Ce pauvre journaliste qui se pose en victime de son système d’information pute à clique. Un grand « ami » du SF, ça se confirme.
Même si tout n’est pas faux dans son article.