Anciens joueurs

loubiere a écrit:

garance a écrit:

Je sais que c'est politiquement incorrect tant pis mais Jules Plisson fait un très bon match ce soir face à La Rochelle

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Je peux comprendre sa prise de parole mais il était pareil sous Quesada qui le surcouvait et le surprotégeait, donc je pense qu'il faut aussi qu'il se remette en question.
Pour l'instant, il semble suivre son rythme de "je commence par faire des bons matchs et je m'effondre ensuite", même si je ne lui souhaite pas cette 2ème partie à Clermont.

benjisop a écrit:

loubiere a écrit:

garance a écrit:

Je sais que c'est politiquement incorrect tant pis mais Jules Plisson fait un très bon match ce soir face à La Rochelle

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Je peux comprendre sa prise de parole mais il était pareil sous Quesada qui le surcouvait et le surprotégeait, donc je pense qu'il faut aussi qu'il se remette en question.
Pour l'instant, il semble suivre son rythme de "je commence par faire des bons matchs et je m'effondre ensuite", même si je ne lui souhaite pas cette 2ème partie à Clermont.

A noter qu'il a eu un peu la même position à son départ de Paris...

dans le genre la poisse version SF

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imjustlooking a écrit:

dans le genre la poisse version SF

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Pour un ancien du SF, il garde l'esprit SF!

Six semaines d'absence pour Kubri. Belle perf, pour un joker n'ayant pas eu l'occasion de jouer !

C est fou cette saison la casse dans chaque club . Et malheureusement il y en aura d autres

REPORTAGE. Après une riche carrière de rugbyman, Mirco Bergamasco en pince pour le football gaélique

L’ancien rugbyman italien, Mirco Bergamasco (39 ans), pratique désormais le football gaélique depuis le mois de septembre, à Nantes. Celui qui est par ailleurs directeur sportif du Stade Nantais (Fédérale 1) a disputé sa première compétition officielle début octobre, à Pontivy (Morbihan). Ouest France était présent pour ses grands débuts dans cette discipline encore confidentielle en France. Reportage.

Ouest-France Baptiste COGNÉ. Publié le 15/10/2022 à 07h13
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Samedi 1er octobre, Pontivy (Morbihan). Jour de Coupe de Bretagne. Et grand jour pour un petit nouveau dans les rangs nantais. Derrière la main courante, l’ancien rugbyman italien Mirco Bergmasco observe d’un œil attentif les premiers matches de la matinée. Dans quelques heures, l’ex-international aux 89 sélections sera à son tour sur le rectangle vert. « J’ai hâte ! Je ne sais pas si je vais être bon, mais je suis à fond. »



Samedi 1er octobre, Pontivy (Morbihan). Jour de Coupe de Bretagne. Et grand jour pour un petit nouveau dans les rangs nantais. Derrière la main courante, l’ancien rugbyman italien Mirco Bergmasco observe d’un œil attentif les premiers matches de la matinée. Dans quelques heures, l’ex-international aux 89 sélections sera à son tour sur le rectangle vert. « J’ai hâte ! Je ne sais pas si je vais être bon, mais je suis à fond. »

« J’ai découvert ce sport un peu par hasard »

Depuis début septembre, le directeur sportif du Stade Nantais rugby (Fédérale 1) est en effet passé au ballon rond. Deux buts de football, des perches de rugby placées juste derrière, neuf joueurs (dont un gardien) de chaque côté, des appuis comme au handball, des rebonds comme au basket : un savant « mélange » de plusieurs sports pour obtenir un match de football gaélique, sport roi en Irlande, mais encore confidentiel en France. « J’ai découvert cette discipline un peu par hasard, rembobine l’ancien bourreau de l’équipe de France lors du tournoi des VI Nations 2011, où il avait inscrit dix-sept des 22 points de son équipe (22-21). Je fais un DU de préparation mentale avec Mickaël Bonnet, très connu dans le foot gaélique, et membre de l’équipe de France. On a noué des liens, il m’a parlé de ce sport. J’ai commencé à regarder des vidéos, c’était intéressant. Je connaissais un petit peu, parce que forcément, quand tu vas en déplacement en Irlande, tu en vois à la télé. Mais je ne m’étais jamais vraiment penché sur ça. Puis au mois de juin dernier, à Nantes, j’ai rencontré Mathieu (Rivoallan), le président du club, et il m’a dit de venir essayer. »



Samedi 1er octobre, Pontivy (Morbihan). Jour de Coupe de Bretagne. Et grand jour pour un petit nouveau dans les rangs nantais. Derrière la main courante, l’ancien rugbyman italien Mirco Bergmasco observe d’un œil attentif les premiers matches de la matinée. Dans quelques heures, l’ex-international aux 89 sélections sera à son tour sur le rectangle vert. « J’ai hâte ! Je ne sais pas si je vais être bon, mais je suis à fond. »
« J’ai découvert ce sport un peu par hasard »

Depuis début septembre, le directeur sportif du Stade Nantais rugby (Fédérale 1) est en effet passé au ballon rond. Deux buts de football, des perches de rugby placées juste derrière, neuf joueurs (dont un gardien) de chaque côté, des appuis comme au handball, des rebonds comme au basket : un savant « mélange » de plusieurs sports pour obtenir un match de football gaélique, sport roi en Irlande, mais encore confidentiel en France. « J’ai découvert cette discipline un peu par hasard, rembobine l’ancien bourreau de l’équipe de France lors du tournoi des VI Nations 2011, où il avait inscrit dix-sept des 22 points de son équipe (22-21). Je fais un DU de préparation mentale avec Mickaël Bonnet, très connu dans le foot gaélique, et membre de l’équipe de France. On a noué des liens, il m’a parlé de ce sport. J’ai commencé à regarder des vidéos, c’était intéressant. Je connaissais un petit peu, parce que forcément, quand tu vas en déplacement en Irlande, tu en vois à la télé. Mais je ne m’étais jamais vraiment penché sur ça. Puis au mois de juin dernier, à Nantes, j’ai rencontré Mathieu (Rivoallan), le président du club, et il m’a dit de venir essayer. »

« Je ne veux plus plaquer, revivre la même chose qu’avant »

Il n’en fallait pas plus pour convaincre le natif de Padoue (près de Venise) de rechausser les crampons. « Ce qui est intéressant pour garder la forme, c’est que tu cours beaucoup. Mais comme le marathon n’est pas mon truc, avec un ballon dans les mains, c’est bien mieux, explique celui qui fêtera ses 40 ans en février prochain. Physiquement, je ne peux plus jouer au rugby avec mon dos… Et je ne veux plus revivre la même chose qu’avant. Je ne veux plus plaquer, se mettre des « marrons » ou autre… Donc le foot gaélique, c’est rigolo, il y a des contacts, mais pas autant qu’au rugby, donc c’est très bien. Et je retrouve l’aspect compétition, défi, j’ai besoin de ça. »

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Justement, c’est l’heure. Fin de l’échauffement, derniers étirements. 11 h 50 : après avoir reçu quelques conseils, Mirco Bergamasco fait son apparition sur le pré avec l’équipe B nantaise pour affronter Vannes. Cri de guerre. L’adrénaline monte. L’Italien, qui a évolué dix saisons en France, entre le Stade Français et le Racing 92 (2003-2013), se positionne côté gauche sur le terrain, au poste de milieu offensif. « Les qualités pour être un bon joueur de football gaélique ? C’est à moi que vous demandez ?, se marre-t-il. Je n’en sais rien, je vais découvrir. Mais par rapport au rugby, il y a pas mal de choses qu’on retrouve. Il y a de l’engagement, des ballons hauts. Le un contre un dans les airs, je connais, j’essaye de me servir de mes automatismes. »

Le Nantais ne ménage pas ses efforts, même s’il ne peut éviter la défaite des siens (1-7). Le bilan après ces vingt premières minutes en compétition officielle ? « Dur, dur, souffle-t-il. Je ne suis pas satisfait de moi, j’ai beaucoup de repères à trouver sur l’aspect technique, le placement. Parfois, j’ai le réflexe de faire la passe avec deux mains, alors qu’il faut faire avec une seule. Cela va venir petit à petit, j’apprends grâce à mes partenaires. » L’apprentissage se poursuit, toujours dans la bonne humeur et le sourire aux lèvres.

En tous les cas, dans les rangs nantais, la recrue « star » fait déjà l’unanimité. « C’est flatteur qu’un joueur international d’un sport de haut niveau trouve son compte, même en loisir, apprécie son coach, Camille Dreillard. Quand il aura appris, il va nous aider. Au niveau cardio, placement, il a plein de choses à nous apporter. »

Merci pour cet article intéressant. Je n'en reviens pas qu'il n'ait que 39 ans, ça fait tellement longtemps qu'il a quitté le SF!

Landreau remercié après un vote des joueurs
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loubiere a écrit:

Landreau remercié après un vote des joueurs
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Landreau fait partie, pour moi, des coachs spécialisés (les avants pour Fabrice) qui n'arrivent pas à (qui n'ont pas les compétences pour) devenir head coach. Et il est loin d'être le seul.

lui dans le style finisseur enchaine les bonnes pers.
un retour ?
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J'avai lu déjà qu'il etait pisté je me souviens plus par qui

L’ancien international de rugby Pascal Papé s’installe à Saint-Priest

Formé à Givors, Pascal Papé a évolué au poste de 2e  ligne à Bourgoin-Jallieu, Castres avant d’intégrer le Stade français et l’équipe de France de rugby. Aujourd’hui, le joueur iconique s’installe dans l’est lyonnais, nous sommes allés à sa rencontre.
Par De notre correspondant, Larbi DJAZOULI - Aujourd'hui à 13:15 | mis à jour aujourd'hui à 13:17

   Pourquoi avoir choisi Saint-Priest comme lieu de résidence ?

« J’habitais Meudon, dans les Hauts-de-Seine. Je cherchais un bon compromis qui me permette à la fois d’aller à Bourgoin-Jallieu où depuis 2021, je suis directeur sportif du CSBJ (club sportif Bougoin-Jallieu rugby) et de me rendre aisément à la gare de l’aéroport de Saint-Exupéry pour des raisons familiales. Une opportunité s’est présentée sur Saint-Priest qui, quelque part, ressemble à Meudon. Cela fait désormais un an que je vis sur la commune. Et je m’y plais beaucoup. »

   Quel regard portez-vous sur votre nouveau lieu de vie ?

« J’aime beaucoup le Village. Et lorsque mon emploi du temps me le permet, je n’hésite pas à aller m’entretenir dans le cadre bucolique du Parc du Château. »

   Que pensez-vous de la place du rugby à Saint-Priest ?

« Saint-Priest Rugby est un excellent club amateur. Je connais très bien Alain Tauleigne, son président. Grâce aux bonnes relations que nous entretenons , on a de jeunes espoirs du CSBJ, en fin de projet chez nous, qui viennent renforcer l’équipe fanion qui évolue en Fédérale 2. Sinon, les rares fois où je suis venu au stade Pierre Mendès-France, c’est pour remettre des trophées comme lors du grand tournoi organisé par le club. »

   Seriez-vous intéressé, si on vous sollicite pour intégrer ce club ?

« Le rugby, c’est une grande partie de mon investissement. Le Saint-Priest Rugby, ce n’est cependant pas encore le même niveau que les clubs professionnels. »

   Vous avez plusieurs cordes à votre arc, quel est votre secteur d’activité qui vous plaît le plus ?

« Il y a bien sûr le rugby. Mais il y a également ATID dont je suis l’un des fondateurs , une entreprise spécialisée dans la performance au cœur de l’entreprise et dans la santé notamment. Des méthodes inspirées du sport de haut niveau et appliquées au monde de l’entreprise. Elle est basée à Levallois-Perret. Mais on compte bien, du fait de son succès, ouvrir une antenne dans la région lyonnaise. Et c’est également ce critère qui fait que Saint-Priest est un choix intéressant. »

  La Coupe du Monde de Rugby aura lieu en France, en 2023. Aurez-vous un rôle à jouer dans l’organisation ?

« J’ai été ambassadeur pour mettre en avant la candidature de la France. Mission accomplie. Sinon, Bourgoin-Jallieu a été retenue pour servir de camp de base à l’Italie. On va tout faire pour être à la hauteur de l’événement. »

  Quels souvenirs vous reviennent de vos deux coupes du monde ?

« 2011 a été une très belle aventure humaine. On n’a pas été loin du sacre. On espère que notre équipe de France, qui possède un potentiel extraordinaire, puisse décrocher le Graal en 2023. »

J'imagine que ça a deja été fait MAIS je serai curieux de connaitre votre 23 préféré depuis que vous suivez le Stade. Pas besoin de mettre les meilleurs, juste ceux qui vous ont donné le plus d'émotions

Voici le mien

Marconnet - Szarzewski - De Villiers - Auradou - M.James - Rabadan - Parisse - Haskell - Pichot - Dominguez - Dominici - Liebenberg - Waiséa - Hernandez - Corleto

Banc : Roncero - De Malmanche  - Slimani - Papé - Burban - Dupuy - Steyn - Arias

Marconnet Blin De Villiers Auradou James Martin Parisse Burban Pichot Dominguez Dominici Liebenberg Glas Hernandez
Remplaçant Roncero Bonfils Pape Rabadan Juillet Galthier Skrela Corleto

Roncero - Blin - De Villiers
Gabrillagues - Auradou
Rabadan - Parisse - Ma. Bergamasco
Galthié - Dominguez
Dominici - Liebenberg - Waisea - Arias
Corleto

Banc : Kayser - Marconnet - James - Martin/Burban - Pichot - Skrela - Mi. Bergamasco/Lombard - Slimani

Je regarde pas. Trop les matchs de bayonne. Ça donne quoi pour lui depuis le début de saison ?

Quand on lit sur rugbyrama fikou et danty une évidence pour le xv de France . Dommage qu'elle ne soit plus àussi á Paris .

mauleon a écrit:

Quand on lit sur rugbyrama fikou et danty une évidence pour le xv de France . Dommage qu'elle ne soit plus àussi á Paris .

Fickou a toujours été une évidence en EDF même quand il était à Paris. Le problème, c'est en club.
Danty profite de l'arrêt de Wakatawa en EDF mais il a toujours été bien traité à Paris.

Totor a écrit:

mauleon a écrit:

Quand on lit sur rugbyrama fikou et danty une évidence pour le xv de France . Dommage qu'elle ne soit plus àussi á Paris .

Fickou a toujours été une évidence en EDF même quand il était à Paris. Le problème, c'est en club.
Danty profite de l'arrêt de Wakatawa en EDF mais il a toujours été bien traité à Paris.

Fickou: pas de problème lors de l'année Meyer (meilleur marqueur du club par exemple).
L'association Fickou-Danty: très bonne et efficace sous Meyer, jusqu'à l'exclusion (et sa fin de saison) de Danty contre Agen, lors de la 22eme journée. L'histoire aurait pu mieux finir si Danty avait pu jouer les 4,5 matchs restants. Mais on ne refait pas l'histoire.

l'ancien entraineur du SFP, Olivier AZAM quitte le MHR.

un article parmi d'autres

arckoy a écrit:

l'ancien entraineur du SFP, Olivier AZAM quitte le MHR.

un article parmi d'autres

Je ne me rappelais même plus qu'il a entrainé au Stade. quelles années?

LP94 a écrit:

arckoy a écrit:

l'ancien entraineur du SFP, Olivier AZAM quitte le MHR.

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Je ne me rappelais même plus qu'il a entrainé au Stade. quelles années?

Taquin!