Revue de presse

Danty qui annonce que le jour ou il partira de la rochelle, cela sera pour uniquement rejoindre paris !alors,saison prochaine ou celle d apres?....

Oui il avait déjà dis çela lors de la rumeur que le stade français pensait à le faire revenir !

garance a écrit:

Je l'aime bien Joris. Outre ses qualités d'ouvreur il est direct sans langue de bois ni propos politiquement aseptisés. C'est le cas dans ce Midol mais également lorsqu'il est "interviewé" à la mi-temps ou en fin de match par Canal.

Oui. Comme les grands coups de latte, ce n'est pas toujours son choix, mais l'application des consignes du staff ( assumées assurément par Quesada et son équipe).

Alors certes, le pack a été très bon, comme d’habitude. Mais titrer que c’est la victoire des gros, c’est un peu exagéré. Car pour une fois, 4 des 6 essais ont été marqués par les lignes arrières. C’est suffisaient rare pour le dire… et dire que c’est la victoire d’une équipe qui s’équilibre.

dubois51 a écrit:

Alors certes, le pack a été très bon, comme d’habitude. Mais titrer que c’est la victoire des gros, c’est un peu exagéré. Car pour une fois, 4 des 6 essais ont été marqués par les lignes arrières. C’est suffisaient rare pour le dire… et dire que c’est la victoire d’une équipe qui s’équilibre.

D'accord avec le titre, c'est vraiment la victoire des avants et de la défense.
4 certes marqués par des 3/4 mais ce ne sont pas des essais de 3/4, 0 ou 1/2 passes max.
Tui, 1 passe (au pied) tentée car nous avons un avantage sur une mélée enfoncée à 5m
Etien, 0 passe, interception sur une bonne montée défensive
Ward, 0 passe, interception sur un ruck chahuté
Hall, 2 passes, avantage sur une mélée enfoncée à 5m

Top 14 : et si le Stade Français poursuivait son ascension... jusqu’au titre ?

Après ses succès au Racing (10-48) et contre Pau (37-3), le club parisien, dauphin du leader toulousain, apparaît de plus en plus irrésistible et se glisse dans la peau d’un candidat au bouclier de Brennus.



Par Olivier François 
Le 2 janvier 2023 à 17h51

Pour un peu, on se croirait revenu vingt ans en arrière, quand le Stade Français et Toulouse régnaient sur la planète ovale. En 2003, le premier avait battu le second (32-18) en finale du Championnat de France. Il est actuellement son dauphin au classement du Top 14 alors que quatorze journées ont déjà été disputées.

Et une question se pose, mine de rien, presque surréaliste si l’on se replace dans le contexte du début du mois d’octobre dernier. Ces Parisiens, que l’on pensait voués à un rôle, au mieux, de figurants, sont-ils capables d’atteindre la finale, voire de soulever un quinzième bouclier de Brennus ? Cette deuxième place ne suffit pas, à elle seule, à expliquer un tel emballement.

Elle n’est que la traduction, en chiffre, de l’impression de solidité, de sérénité et d’enthousiasme dégagée par une équipe en pleine ascension, qui vient de balayer Pau (37-3), samedi 31 décembre au stade Jean-Bouin, une semaine après une démonstration face au Racing (10-48), dans sa salle de Paris La Défense Arena.

« Le meilleur pack du Top 14 »

Les principaux intéressés, évidemment, tentent de rester mesurés. « Ce n’était que le premier match de la phase retour, avance le troisième ligne Giovanni Habel-Kuffner. Les autres clubs vont nous cibler. Chaque rencontre est une bataille. On doit être humble, mais si on continue comme ça, on va pouvoir aller loin dans ce championnat. On se donne le droit de rêver. » Julien Arias, l’entraîneur des trois-quarts ne dit pas autre chose. « Je sais d’où on vient et comment ça se passe dans ce club, donc on va rester à notre place, souligne-t-il. Cela nous va très bien de ne pas être pris au sérieux depuis le début de la saison. »

Le club parisien avait d’ailleurs tout fait pour cela, en confirmant, via son propriétaire, Hans-Peter Wild, dès le début octobre, le limogeage en fin de saison du manager Gonzalo Quesada, pourtant en contrat jusqu’en juin 2024, et son remplacement au lendemain de la Coupe du monde (du 8 septembre au 28 octobre 2023, en France) par Laurent Labit et Karim Ghezal, les adjoints de Fabien Galthié au sein du XV de France.

Une situation rocambolesque et annonciatrice d’une crise. Les joueurs parisiens affirment tous que cette révélation les a galvanisés, les soudant encore davantage derrière leur manager. « Je ne crois pas que ce soit la raison de leurs performances, lance Denis Charvet, ancien trois-quarts international, consultant sur RMC. Je pense davantage à l’effet de la dynamique et l’équilibre trouvé par une équipe qui a du potentiel. Le Stade Français a sans doute le meilleur pack du Top 14 actuellement et le rugby n’a pas changé. Il se gagne devant. »

Les statistiques sont là pour le confirmer. Les Parisiens s’appuient sur une conquête solide : ils sont les meilleurs du championnat en touche, parmi les tout meilleurs en mêlée. « Habel-Küffner, Briatte, Kremer, Van der Mescht, c’est fort, c’est sérieux, ajoute Denis Charvet. Sekou Macalou règne sur le terrain. Et Paul Alo-Emile, l’un des plus grands piliers droits en France, revient après une longue absence (due à une lourde dépression). Et puis, pour mener tout ça, il y a Morgan Parra. Il est essentiel dans le discours, dans l’expérience qu’il apporte. »

Une défense en béton

Les regards se tournent également vers Paul Gustard, le technicien anglais arrivé l’été dernier pour épauler le staff. L’ancien entraîneur adjoint des Saracens de la grande époque a pris en charge le secteur défensif et il a patiemment construit une assise sans laquelle rien n’aurait été possible. Le club parisien est l’équipe, à égalité avec Toulouse, qui a encaissé le moins de points cette saison (16 par match en moyenne).

« Nous avons une grosse conquête et une grosse défense », confirme Julien Arias. Plus un patron à la baguette, plus des trois-quarts puissants et toniques, capables de jaillir. Comme en 2003… Et comme le Stade Français a pris l’habitude de finir fort ses matchs, dans les vingt dernières minutes où se jouent les victoires et où vont se chercher les points de bonus, cela donne un cocktail pour l’instant gagnant.

« Le Stade Français est un grand outsider, appuie Charvet. Il peut déjà finir à la deuxième place et accéder directement aux demi-finales, d’autant qu’il a un gros avantage en ne jouant pas la Champions Cup. Sur les trois derniers exercices, le champion s’est toujours qualifié de cette façon (Montpellier en 2022, Toulouse en 2021 et 2019). Alors, oui, pourquoi ne pas aller chercher le titre ? Les joueurs ne le diront jamais et d’ailleurs il ne le faut pas. Ils doivent rester concentrés sur le match qui suit, uniquement. »

Les Parisiens l’ont bien compris. C’est pourquoi ils n’ont pas fêté outre mesure leur succès contre Pau, samedi. Ils sont restés ensemble un petit moment dans une salle du stade Jean-Bouin, histoire de trinquer et de savourer, avant d’aller retrouver leurs familles pour célébrer la nouvelle année. Une année faste ?

Avec tout ce discours on sera respecté et surtout attendu á l'extérieur !

l'article est flatteur mais les absences de Pessenti Gabrillagues vont se faire sentir. Et pas certains qu'à leur retour ils soient rapidement aussi performants qu'avant leur absence

Cela dit, on pensait aussi que les anciennes blessures allaient nous handicaper : Azagoh était déjà absent, Veainu n'a pas encore joué, Naivalu, Ory...
Et finalement ça semble encore plus souder le groupe. Bon certes la on a 4 deuxièmes lignes en absence longue durée donc ça ne sera peut être pas la même.

On verra quand il faudra aligner le ou les jokers en Top14

benjisop a écrit:

Cela dit, on pensait aussi que les anciennes blessures allaient nous handicaper : Azagoh était déjà absent, Veainu n'a pas encore joué, Naivalu, Ory...
Et finalement ça semble encore plus souder le groupe. Bon certes la on a 4 deuxièmes lignes en absence longue durée donc ça ne sera peut être pas la même.

On verra quand il faudra aligner le ou les jokers en Top14

Espérons que Timani fasse regretter son départ aux supporters toulonnais. S'il est au niveau du joueur qu'il a été à Clermont, on abordera les deux prochains mois (dont deux week-ends de Challenge) avec trois deuxièmes lignes de haut niveau. Reste plus qu'à mettre VDM et Kremer dans le formol entre chaque match et à prier.

Diegooo75 a écrit:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Si Danty signe tout de suite avec La Rochelle, à 1 an et demi de l'échéance, c'est qu'il n'a pas fondamentalement le désir de revenir sur Paris.
La position de Wild est également tout à fait cohérente. Non en 2023. 2024 aurait pu convenir.

Sans doute comme tu dis danty ne veut pas revenir Oû son contraire Paris etait il vraiment fortement interessé Oû pas pour qu'il revienne ! Au final on n'en sait rien .

C'est surtout que c'est maintenant que sa valeur est la plus haute. Il est au top, international.
Pour négocier un dernier gros contrat, c'est maintenant.

Totor a écrit:

C'est surtout que c'est maintenant que sa valeur est la plus haute. Il est au top, international.
Pour négocier un dernier gros contrat, c'est maintenant.

Voilà. L'agent a joué la carte Paris pour gratter le meilleur contrat possible à son joueur.

Les propos de Thomas Lombard sur ce début de saison: intéressant.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Interwieu de wild dans le midol.tres interessant.
Des grands noms vont etre recrutés,il espere que gustard et sempere vont rester. Hall part au racing,et il regrette d avoir loupé de peu seuteni....

Mais oui wild en parlè et il y aura comme je t ai dis á plusieurs reprises d autres recrues et que sa bosse avec les agents et joueurs et j'attends toujours ma surprise ! Comme beaucoup ici et sa pourrait très vite étre annoncé .

On va perdre kremer,mais c'est un peu comprehensible vu ses absences jusqu a decembre et son nombre de cartons
Je gais vraiment le regretter celui là !