Revue de presse

Paris est toujours amputé de trois de ses piliers (Paul Alo-Emile, Giorgi Melikidze et Sergo Abramishvili). Toutefois, ils sont proches d’un retour. Ils pourraient revenir dans la rotation lors de la 9e journée face à La Rochelle, peut-être même un peu avant pour Alo-Emile. En revanche, un autre pilier a été dernièrement touché. Il s’agit de l’international argentin Gomez Kodela qui se plaint des côtes. Il sera absent.

Segond se régale a bayonne c est vrai que sa joue plus derrière comme il dit et puis la mer la montagne tout proche c est
Super

Au fait begles Bordeaux n arrête pas son recrutement pour la saison prochaine des profils de qualité seraient en passe de se réaliser et nous ? Nous avons du mal à signer du lourd je sais pas comment ils font par rapport au salary cap

mauleon a écrit:

Au fait begles Bordeaux n arrête pas son recrutement pour la saison prochaine des profils de qualité seraient en passe de se réaliser et nous  ? Nous avons du  mal à signer du lourd  je  sais pas comment ils font par rapport au salary cap

de recruter du lourd comme tu le dis ne les a pas empeches de prendre 59 points en finale .
et si Brousset avait fait preuve d honetete c est nous qui etions en finale a leur place .
la politique de recrutement du SF est plutot orientee sur de bons joueurs , meme si il y a quelques manquements , et si nous n avions pas tous ces blesses nous serions surement en haut de classement .
au sujet du SC , le controle est le meme pour tous les clubs , donc ils doivent etre dans les clous .

mauleon a écrit:

Au fait begles Bordeaux n arrête pas son recrutement pour la saison prochaine des profils de qualité seraient en passe de se réaliser et nous  ? Nous avons du  mal à signer du lourd  je  sais pas comment ils font par rapport au salary cap

Il faut aussi voir les fins de contrat pour se faire une idée.

mauleon a écrit:

Segond se régale a bayonne  c est vrai que sa joue plus derrière comme il dit et puis la mer la montagne tout proche c est
Super

globalement, ça me laisse totalement indifférent. Il oublie juste de rappeler qu'il pleut 2 fois plus qu'à Paris
Et puis pour Segonds, n'être que le second lui convient bien.

mauleon a écrit:

Segond se régale a bayonne  c est vrai que sa joue plus derrière comme il dit et puis la mer la montagne tout proche c est
Super

tu exagères un peu non ? il a été titulaire que deux fois, un mec de 35 ans lui est préféré, Bayonne est pire que nous en ce début de saison que ce soit au niveau du jeu et du classement en ce début de saison ! Il est clairement parti pour une saison en demi teinte....
alors que oui le fait que la mer et la montagne soient à proximité explique surement le côté touriste des joueurs bayonnais sur le terrain en ce début de saison

imjustlooking a écrit:

mauleon a écrit:

Segond se régale a bayonne  c est vrai que sa joue plus derrière comme il dit et puis la mer la montagne tout proche c est
Super

tu exagères un peu non ? il a été titulaire que deux fois, un mec de 35 ans lui est préféré,  Bayonne est pire que nous en ce début de saison que ce soit au niveau du jeu et du classement en ce début de saison ! Il est clairement parti pour une saison en demi teinte....
alors que oui le fait que la mer et la montagne soient à proximité explique surement le côté touriste des joueurs bayonnais sur le terrain en ce début de saison

On va juste comparer son début de saison avec l'AB cette année, au coté d'un pré retraité

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avec ses débuts en top 14, tout juste débarqué d'Aurillac, sous Heineke Meyer (et la concurrence de Plisson et Steyn)

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Plus de points - plus de temps de jeu !

bournet annie a écrit:

mauleon a écrit:

Au fait begles Bordeaux n arrête pas son recrutement pour la saison prochaine des profils de qualité seraient en passe de se réaliser et nous  ? Nous avons du  mal à signer du lourd  je  sais pas comment ils font par rapport au salary cap

au sujet du SC , le controle est le meme pour tous les clubs , donc ils doivent etre dans les clous .

Le RCT et le Racigne se poilent à la lecture de cette conclusion..

Portrait de Peniasi Dakuwaqa dans L'Equipe

Peniasi Dakuwaqa, la fusée fidjienne du Stade Français qui n'avait pas le droit de jouer le samedi

Titulaire à une aile du Stade Français qui va jouer à Lyon dimanche soir, arrivé à Paris à 25 ans dans l'anonymat le plus total, l'ailier fidjien Peniasi Dakuwaqa a percé sur le tard. En cause, notamment, une règle stricte de son grand-père qui lui interdisait de jouer au rugby le samedi.


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Un tee-shirt roulé en boule et noué par les manches, une bouteille d'eau ou une noix de coco. C'est avec ces ballons de fortune, dans un jardin du village de Nagado, à Nadi, au nord-ouest de l'île principale de Viti Levu aux Fidji, que Peniasi Dakuwaqa (1, 86 m - 95 kg) a découvert le rugby. « On n'avait pas les moyens d'acheter des vrais ballons, c'était trop cher, se souvient celui qui a été éduqué par son grand-père avec une vingtaine de cousins au sein d'une famille sans-le-sou. Quand on jouait avec des voisins, il n'y avait pas de règle : ça plaquait à la tête ! Dès que tu avais le ballon, cinq gamins te fonçaient dessus pour te découper. C'est pour ça qu'il fallait courir vite. »

Ça n'a jamais été un problème pour l'ailier fidjien de 27 ans. C'est même ce qui a convaincu les dirigeants du Stade Français, son directeur général Thomas Lombard et le patron du recrutement parisien Christophe Moni, de l'engager en qualité de joker médical, à l'automne 2022, sur les conseils de Sireli Bobo. « J'ai dit à Thomas que Peniasi deviendrait leur joueur vedette s'il me faisait confiance, rembobine l'ancien international fidjien. Et je lui ai envoyé une vidéo. »

« Courir vite c'est dans mes gènes. Mon père aussi était très rapide »
Peniasi Dakuwaqa

Une compilation de cinq minutes des plus belles actions de « Peni », parfois filmées au téléphone par sa femme Cheryl, sur un terrain de rugby ou une piste d'athlétisme. En crampons ou en pointes, les chaussettes baissées sous les chevilles, Dakuwaqa y crève l'écran. Son pouvoir d'accélération phénoménal lui vaudra d'être surnommé « The Flash » par le commentateur sportif local Papa Graham. « Courir vite, c'est dans mes gènes, dit d'un haussement d'épaules timide ce grand gaillard du genre taiseux. Mon père aussi était très rapide. »

En 2020, Peniasi « Ben » Dakuwaqa avait remporté la médaille d'or sur le 100 mètres des Jeux des îles Cook en 10''42. Il avait alors 23 ans et pas la moindre expérience rugbystique professionnelle. Entre les Fidji et les îles Cook, où il avait déménagé pour rejoindre son épouse, il avait pourtant touché à tout au niveau amateur : rugby à 7, 9, XIII et quinze, notamment aux Tupapa Maraerenga Panthers.

« J'ai demandé à sa tante pourquoi il n'avait pas été repéré plus vite malgré son talent. Elle m'a expliqué qu'il avait grandi avec un grand-père strict »
Cheryl, épouse de Peniasi Dakuwaqa

« J'ai en mémoire un match chez le champion en titre, indique Delaney Yaqona, le manager général des Panthers. C'était la première journée de la saison, on était rouillés et il nous manquait beaucoup de joueurs. En plus, il pleuvait. Ça n'a pas empêché ''Ben'' de marquer quatre essais. À chaque fois qu'il touchait le ballon, il inventait quelque chose. Il évoluait dans une autre galaxie. » Pas assez pour que le Fidjien, qui cumulait alors des petits boulots dans la construction, puisse vivre du rugby plus tôt.

« J'ai demandé à sa tante pourquoi il n'avait pas été repéré plus vite malgré son talent, raconte sa compagne Cheryl. Elle m'a expliqué qu'il avait grandi avec un grand-père strict, membre de l'Église adventiste du septième jour. » Très pratiquant, cet ancien boxeur, qui réveillait toute la maison aux aurores en grattant quelques airs de guitare, respectait scrupuleusement les règles de sa religion. « Tu ne bois pas, tu ne fumes pas », récite son petit-fils, dont les journées étaient rythmées par l'école, la plantation familiale où il cultivait marantes, taros et patates douces, la vente sur les marchés, la pêche et la prière avant de se coucher.

« Et le samedi, qui est le septième jour, ajoute-t-il, tu ne travailles pas et tu ne fais pas de sport. » Voilà pourquoi Dakuwaqa a séché de nombreux matches de rugby pendant des années. « Quand mon grand-père est tombé malade, j'ai arrêté l'école pour m'occuper de lui et de la plantation, reprend-il. À l'époque, les tournois étaient sur deux jours. Le vendredi, je l'amenais au stade, je l'aidais à s'asseoir en tribunes et je jouais devant lui parce qu'il aimait me regarder. Mais le samedi, on restait à la maison. On ne sortait que pour aller à l'église. »

Le joueur, qui a perdu son grand-père en 2020, a pris du retard et manqué des occasions d'être repéré. L'offre du Stade Français a tout bouleversé. « Être ici, c'est ce que je veux, c'est mon rêve, affirme-t-il. Je n'ai pas le choix, je dois y arriver. Peu importe les difficultés. » Elles furent nombreuses à son arrivée en France. La vie en appartement à Boulogne-Billancourt - « du bruit tout le temps, pas de jardin » -, le froid - « on est arrivé avec nos vêtements d'été. Le premier matin, je suis sorti en shorts. Tout le monde me regardait comme si j'étais fou » -, la barrière de la langue et la découverte des chaudes ambiances du top 14, à l'instar d'un déplacement tendu à Bayonne - « un mec a renversé sa bière sur Gonzalo (Quesada, l'ancien entraîneur du Stade Français). Il nous insultait. »

« Parfois, je rentrais quinze minutes, je touchais un seul ballon. Et parfois, aucun... J'étais tellement frustré. J'avais juste besoin d'une opportunité »
Peniasi Dakuwaqa sur ses débuts au Stade Français

Les pièges à éviter, aussi, comme ce premier Noël passé avec d'autres joueurs fidjiens en région parisienne. « Ils l'ont fait boire parce que c'était le petit nouveau, soupire son épouse. Quand il est rentré, j'ai failli le foutre à la porte. Je ne l'avais jamais vu comme ça. J'étais tellement en colère... Les Fidjiens peuvent avoir tendance à faire des choses stupides. Mais, nous, on est différents, ce n'est pas notre truc. » « C'est la première et dernière fois que j'y allais, promet son mari. Je ne suis pas venu ici pour ça. »

Dakuwaqa est venu pour jouer au rugby, mais il lui a fallu ronger son frein. Embrasser un rôle - ailier à XV - qu'il connaissait à peine et apprivoiser le jeu européen, « plus structuré et tactique » que ce qu'il connaissait. Aidé au quotidien par Paul Gustard, l'entraîneur de la défense, il a passé ses premiers mois sur le banc ou en tribunes. Peu de minutes de jeu et encore moins de ballons à exploiter. « Parfois, je rentrais quinze minutes, je touchais un seul ballon. Et parfois, aucun... J'étais tellement frustré, souffle-t-il. J'avais juste besoin d'une opportunité. »

Elle s'est présentée en février 2023 lors de la réception de Montpellier (27-17). « Dix minutes avant la mi-temps, Sione Tui s'est blessé et je l'ai remplacé, se remémore-t-il. C'était ma chance, le moment que j'attendais depuis mon arrivée. » « Ça passait ou ça cassait, glisse Cheryl. Il a fait son meilleur match et on a signé son contrat pro le lendemain. »

Prolongé jusqu'en 2026, Dakuwaqa a depuis enchaîné les prestations intéressantes avec, en point d'orgue, cet essai du bout du monde sur la pelouse du Racing 92 en février dernier, 127 mètres d'une folle course conclue dans l'en-but. Laissé hors groupe lors des trois premières journées de Championnat en septembre et peu considéré par l'entraîneur stadiste Karim Ghezal, remercié depuis, l'ailier a craint un déclassement. Ses deux essais, à Pau puis contre Montpellier lors de la dernière journée, ont mis tout le monde d'accord : le facteur X du Stade Français, c'est bien lui. Même le samedi.

Pourquoi le partage du stade Jean-Bouin entre le Stade Français et le Paris FC pourrait s’avérer très compliqué

Ivan75 a écrit:

Pourquoi le partage du stade Jean-Bouin entre le Stade Français et le Paris FC pourrait s’avérer très compliqué

Une situation absurde qui pourrait être solutionnée facilement avec la destruction et reconstruction de Charlety. Monsieur Arnault ne manque pas, je crois, de liquidité pour cette hypothèse...mais la chose est inenvisageable pour l'égo de l'architecte qui a commis cet étron de Stade.

Tout cela prouve combien Paris avait besoin de deux Stades de moyenne capacité pour notre Stade Français, les féminines du PSG, le Paris FC et les Mousquetaires (football américain).

Dam's a écrit:

Ivan75 a écrit:

Pourquoi le partage du stade Jean-Bouin entre le Stade Français et le Paris FC pourrait s’avérer très compliqué

Une situation absurde qui pourrait être solutionnée facilement avec la destruction et reconstruction de Charlety. Monsieur Arnault ne manque pas, je crois, de liquidité pour cette hypothèse...mais la chose est inenvisageable pour l'égo de l'architecte qui a commis cet étron de Stade.

Tout cela prouve combien Paris avait besoin de deux Stades de moyenne capacité pour notre Stade Français, les féminines du PSG, le Paris FC et les Mousquetaires (football américain).

L'objectif à moyen terme pour le PFC n'est pas de récupérer Le Parc des Princes ?
Le PSG a pour ambition de construire son stade (l'agrandissement du Parc n'est pas possible). En venant à Jean Bouin, ils habituent les gens à venir dans la zone.

Totor a écrit:

Dam's a écrit:

Ivan75 a écrit:

Pourquoi le partage du stade Jean-Bouin entre le Stade Français et le Paris FC pourrait s’avérer très compliqué

Une situation absurde qui pourrait être solutionnée facilement avec la destruction et reconstruction de Charlety. Monsieur Arnault ne manque pas, je crois, de liquidité pour cette hypothèse...mais la chose est inenvisageable pour l'égo de l'architecte qui a commis cet étron de Stade.

Tout cela prouve combien Paris avait besoin de deux Stades de moyenne capacité pour notre Stade Français, les féminines du PSG, le Paris FC et les Mousquetaires (football américain).

L'objectif à moyen terme pour le PFC n'est pas de récupérer Le Parc des Princes ?
Le PSG a pour ambition de construire son stade (l'agrandissement du Parc n'est pas possible). En venant à Jean Bouin, ils habituent les gens à venir dans la zone.

En tant que supporter parisien - foot et rugby - ça me ferait mal au cœur de voir un autre club que le PSG au Parc des Princes. Rien contre le PFC et ça serait top d'avoir deux grosses équipes à Paris, comme dans les autres grandes capitales européennes, mais absolument aucune attache avec ce club qui aura bien du mal à remplir le Parc (même si j'imagine que certains déçus du PSG trouveront peut-être leur bonheur du côté du PFC).

« Un sentiment de honte »

"On doit mieux travailler. Certains le font, d'autres doivent prendre la roue. Il faut ramener de la discipline en dehors du terrain ce qui en amènera sur le terrain."

Y aurait-il des "branleurs" ? Ceux qui ont eu la peau de Ghezal ?

Diegooo75 a écrit:

En tant que supporter parisien - foot et rugby - ça me ferait mal au cœur de voir un autre club que le PSG au Parc des Princes. Rien contre le PFC et ça serait top d'avoir deux grosses équipes à Paris, comme dans les autres grandes capitales européennes, mais absolument aucune attache avec ce club qui aura bien du mal à remplir le Parc (même si j'imagine que certains déçus du PSG trouveront peut-être leur bonheur du côté du PFC).

Si j'ai bien compris (ne m'intéressant nullement au foot, parisien ou non), le PFC attire actuellement à Charléty autour de 10 000 personnes, mais parce que l'entrée est gratuite?

Hoppy a écrit:

« Un sentiment de honte »

"On doit mieux travailler. Certains le font, d'autres doivent prendre la roue. Il faut ramener de la discipline en dehors du terrain ce qui en amènera sur le terrain."

Y aurait-il des "branleurs" ? Ceux qui ont eu la peau de Ghezal ?

C'est le plus dérangeant. Car embaucher un ancien arbitre de top 14 pour faire travailler la discipline n'y changera rien.
Quant à Ghezal, est-ce le vestiaire ou la direction ?

loubiere a écrit:

Diegooo75 a écrit:

En tant que supporter parisien - foot et rugby - ça me ferait mal au cœur de voir un autre club que le PSG au Parc des Princes. Rien contre le PFC et ça serait top d'avoir deux grosses équipes à Paris, comme dans les autres grandes capitales européennes, mais absolument aucune attache avec ce club qui aura bien du mal à remplir le Parc (même si j'imagine que certains déçus du PSG trouveront peut-être leur bonheur du côté du PFC).

Si j'ai bien compris (ne m'intéressant nullement au foot, parisien ou non), le PFC attire actuellement à Charléty autour de 10 000 personnes, mais parce que l'entrée est gratuite?

Oui, c'est ça. En fait le Paris FC, n'a jamais eu de public. Il a d'abord eu une mauvaise naissance voulu par les dirigeants de la FFF pour avoir un grand club à Paris. Il y a eu ensuite séparation avec le PSG, Le Paris fc etant resté professionnel et le Paris SG étant devenu amateur avec saint germain.
Ironie de l'histoire, le Paris Fc descendra de division et le Paris SG deviendra ce qu'il est devenu.

Ensuite le Paris FC est devenu Matra Racing sous Lagardère qui l'a racheté pour avoir une grande équipe à Paris. Puis Lagardère a jeté l'éponge et c'est redevenu Paris Fc.
Le Paris Fc a atterri ensuite à Charletty. Depuis quelques saisons il y a un petit public (2000 à 5000 personnes), boosté à 10000 car c'est gratuit, et grace aussi aux bons résultats.

Quand on réussit à voir Ryan Chapuis impliqué dans une embrouille avec un coéquipier c'est que ça commence à puer sérieusement .

C’est bizarre : le Midol n’arrive jamais à avoir une compo pour le SF. Il y a toujours 3 ou 4 « ou » dans la compo.
Sont-ce nos entraînements qui sont illisibles pour le journaliste ? Ou c’est une buse ? Ou jusqu’au dernier moment le staff ne sait pas qui aligner ?  
En tout cas, je ne me rappelle pas qu’il y avait autant de « ou » sous Quesada.

PHX8lepetitsudiste a écrit:

Quand on réussit à voir Ryan Chapuis impliqué dans une embrouille avec un coéquipier c'est que ça commence à puer sérieusement .

Comme on ne connait ni la cause, ni les circonstances, on va éviter les conclusions peut-être hâtives !
Un placage un peu appuyé à l'entraînement et qui fait mal sur le coup, ça arrive aussi.

dubois51 a écrit:

C’est bizarre : le Midol n’arrive jamais à avoir une compo pour le SF. Il y a toujours 3 ou 4 « ou » dans la compo.
Sont-ce nos entraînements qui sont illisibles pour le journaliste ? Ou c’est une buse ? Ou jusqu’au dernier moment le staff ne sait pas qui aligner ?  
En tout cas, je ne me rappelle pas qu’il y avait autant de « ou » sous Quesada.

Peut-être tout simplement que Quesada annonçait l'équipe assez tôt dans la semaine (donc avant la conf de presse), alors qu'on sait depuis l'an dernier (je me souviens d'une intervention de Ghezal) que la compo est donnée après ? Et les journalistes n'y assistent pas