Revue de presse

Je suis aussi d avis de dire que toulon n est pas bien meilleur que nous, peut-être un match qui va nous permettre de se relancer, on l a fait tant de fois pour d autres.

Mais voilà vu qu'on n'est pas au mieux voir pire ils peuvent aussi penser de nous la mēme chose.

mauleon a écrit:

Mais voilà vu qu'on n'est pas au mieux voir pire ils peuvent aussi penser de nous la mēme chose.

en fait, comme d'habitude, les équipes réputées faibles constituent des cibles pour les équipes réputées plus fortes... dans le cas où les 2 équipes sont faibles, elles sont des cibles mutuelles... merci pour cette analyse de haute tenue.

Si l'on en croit L'Equipe, Meyer restera au moins jusqu'à la fin de la saison.
Lombard a déja rencontré les joueurs, et il s'entend bien avec Meyer (??? !!!).
Sintes et Grobon quitteront le clubs.
Les annonces après la rencontre à Agen.
Des tensions entre anciens et jeunes joueurs.

Donc il y a bien ce que je pensais deux groupes au sein des joueurs. Les jeunes qui manque d'expérience mais approuvé les méthodes de Meyer et veulent se défoncer. Et les anciens tellement habituer a s entraîner a la cool et n aime pas qu on leur dise il faut y aller plus fort sinon tu joue pas. Bref il y a bien 2 clan les anti Meyer il est méchants il me fait trop travailler et les jeunes pour Meyer j en veux je veut jouer même si je suis moins bon. D ou le départ de plein de joueurs et la confirmation des propos de wild tu reste ou tu pars? Voilà pourquoi je pense que Jules ne joue pas assez pas habituer à ce défoncer à l'entraînement. Et les changements interviendront avant le match contre le Racing au moment du retour des absents coupe du mobdr. Logique pour repartir sur un nouveau cycle.

Tout ça pour ça ?

paramaribo a écrit:

Tout ça pour ça ?

Après, c'est uniquement le retour du journal l'Equipe.
Perso, moi ce qui me frappe au SF c'est l'absence.
On a des dirigeants absents (un président parti, un DG dont on ne sait pas ce qu'il fait, un proprio loin et qui a de multiples occupations, un staff qui doit se sentir seul).

Le collectif est également absent, le jeu idem, les relations entre joueurs sont forcément plus compliquées.
Meyer a beaucoup de mal à apprendre le français et ne peut donc faire passer ses messages comme il le souhaite.

Ce que j'aimerai pour commencer, c'est justement une présence dans tous les niveaux du club.
Commençons par remodeler l'organigramme mais pour ça il faut attendre le retour de Wild en France visiblement.

Samalyss a écrit:

Ce que j'aimerai pour commencer, c'est justement une présence dans tous les niveaux du club.
Commençons par remodeler l'organigramme mais pour ça il faut attendre le retour de Wild en France visiblement.

je comprends cette impatience mais le changement de DG se fait avec l'aval du conseil d'administration. Donc sans le président/propriétaire présent, pas possible de tenir un conseil d'administration. Donc, on attend son retour à Paris.

loubiere a écrit:

Samalyss a écrit:

Ce que j'aimerai pour commencer, c'est justement une présence dans tous les niveaux du club.
Commençons par remodeler l'organigramme mais pour ça il faut attendre le retour de Wild en France visiblement.

je comprends cette impatience mais le changement de DG se fait avec l'aval du conseil d'administration. Donc sans le président/propriétaire présent, pas possible de tenir un conseil d'administration. Donc, on attend son retour à Paris.

Ce a quoi il faut ajouter que tu ne peux recruter un DG si l'ancien est tjs en place !!!! C'est juste la base du code du travail !

Ivan75 a écrit:

Si l'on en croit L'Equipe, Meyer restera au moins jusqu'à la fin de la saison.
Lombard a déja rencontré les joueurs, et il s'entend bien avec Meyer (??? !!!).
Sintes et Grobon quitteront le clubs.
Les annonces après la rencontre à Agen.
Des tensions entre anciens et jeunes joueurs.

cela rappelle l’époque Quesada ou les
"historiques" avaient fait scission des étrangers (les voleurs de travail) et des nouveaux parce leurs privilèges étaient menaces ! Bref voila l'ADN du SF, de petits privilégiés plus occupes a garder leur place qu'a mouiller le maillot !



Vivement le retour des joueurs CDM. On aura plus besoin de ces petites frappes qui n'ont pas leur place dans un club professionnel.

fanstade a écrit:

Donc il y a bien ce que je pensais deux groupes au sein des joueurs. Les jeunes qui manque d'expérience mais approuvé les méthodes de Meyer et veulent se défoncer. Et les anciens tellement habituer a s entraîner a la cool et n aime pas qu on leur dise il faut y aller plus fort sinon tu joue pas. Bref il y a bien 2 clan les anti Meyer il est méchants il me fait trop travailler et les jeunes pour Meyer j en veux je veut jouer même si je suis moins bon.

Mais d'où cela sort-il?

Je veux bien entendre qu'il puisse y avoir une différence de perception entre des anciens déçus de la transformation du club, tant sur l'aspect humain que sur l'ambition du plan de jeu, et certains jeunes ou recrues récentes à l'approche plus pragmatique (j'ai une opportunité, je ne me pose pas de question).

Mais comment l'idée que d'aucuns refusent de travailler car ils se sont toujours entrainés à la cool a pu s'installer?

Gonzalo Quesada était un bourreau de travail (il y a d'ailleurs laissé beaucoup personnellement) et l'idée d'exigences hautes envers ses joueurs ne lui était absolument pas étrangère.

On ne devient pas champion de France sans raison!

Si, en quatre saisons, les joueurs ont remporté deux titres sans bosser (et ont fini trois saisons sur quatre à un meilleur classement que l'année dernière avec des moyens pourtant inférieurs), où devrions-nous être maintenant qu'un entraîneur a enfin énoncé qu'il fallait travailler?

Les théories du complot sont toujours à la mode surtout quand elles sont relayées par des Fouquier Tinville en pantoufles qui derrière leur ordinateurs nous assènent des "vérités toutes droites sorties de leurs imaginations malheureusement très fertiles.

Personne ne sait réellement ce qu'il se passe dans le vestiaire, ni hier ni aujourd'hui, et c'est heureux qu'il en soit ainsi. La seule expression directe incontestable visible par tous c'est ce qu'il se passe sur le terrain.

Merci beaucoup Ivan75

Merci pour les articles . Bon maintenant il faut ramener une victoire d agen sinon on retombera dans la normalité

jepepikouros a écrit:

Les théories du complot sont toujours à la mode surtout quand elles sont relayées par des Fouquier Tinville en pantoufles qui derrière leur ordinateurs nous assènent des "vérités toutes droites sorties de leurs imaginations malheureusement très fertiles.

Observation tout aussi valable pour les membres de ce forum

BEB_09 a écrit:

Ivan75 a écrit:

Si l'on en croit L'Equipe, Meyer restera au moins jusqu'à la fin de la saison.
Lombard a déja rencontré les joueurs, et il s'entend bien avec Meyer (??? !!!).
Sintes et Grobon quitteront le clubs.
Les annonces après la rencontre à Agen.
Des tensions entre anciens et jeunes joueurs.

cela rappelle l’époque Quesada ou les
"historiques" avaient fait scission des étrangers (les voleurs de travail) et des nouveaux parce leurs privilèges étaient menaces ! Bref voila l'ADN du SF, de petits privilégiés plus occupes a garder leur place qu'a mouiller le maillot !



Vivement le retour des joueurs CDM. On aura plus besoin de ces petites frappes qui n'ont pas leur place dans un club professionnel.

Quels joueurs considères-tu comme des petites frappes ?

sans surprise (?), les titis de l'ovalie se font remarquer (et pas en bien à mon avis) alors que les 4 associations de suporters avaient décidé de faire un gros effort de soutien à l'équipe.

Oui franchement,toalement déplacé !!

Jacques-Yves a écrit:

Mais comment l'idée que d'aucuns refusent de travailler car ils se sont toujours entrainés à la cool a pu s'installer?

Gonzalo Quesada était un bourreau de travail (il y a d'ailleurs laissé beaucoup personnellement) et l'idée d'exigences hautes envers ses joueurs ne lui était absolument pas étrangère.

On ne devient pas champion de France sans raison!

Si, en quatre saisons, les joueurs ont remporté deux titres sans bosser (et ont fini trois saisons sur quatre à un meilleur classement que l'année dernière avec des moyens pourtant inférieurs), où devrions-nous être maintenant qu'un entraîneur a enfin énoncé qu'il fallait travailler?

Que Gonzalo soit un bourreau de travail, je n'en doute pas, d'autant qu'il avait un staff réduit, notamment lors de la saison funeste post titre.
je ne dirai pas non plus que les joueurs ne faisaient rien avant, mais peut-être ne faisaient-ils pas assez, en profondeur, y compris les activités les plus ingrates? on connait le faible penchant des français pour la muscu. et la prépa physique par exemple. Et quand je vois la dextérité des Blacks ou les Japonais à manipuler la gonfle, je me dis qu'on a du travail.
Enfin, tes arguments chiffrés sont justes sauf qu'il faut aller un peu plus loin dans l'analyse (désolé, le prof de math revient à la charge).
Je rappelle les épisodes précédents: Meyer l'an dernier c'est 64 points et 14 victoires en top 14.
saison 2013-2014: 14 victoires également et 65 points. Un BD arraché dans les dernières minutes du dernier match de la saison à Nice contre Toulon (jouant à 14) nous offrait la 7eme place et le barrage aller-retour contre les WASPS pour accéder à la HCup. On connait la suite (souvenez-vous du bedonnant Andy Goode nous ridiculisant à Jean Bouin).
2014-2015: On a été très bons - car le Brennus, incontestable - mais 15 victoires seulement en saison régulière. les 64 points de Meyer permettaient aussi d'accéder au top 6.
2016-2017: 7eme mais seulement 59 points et 12 victoires. Avec les 64 points de Meyer, on jouait les phases finales.........

loubiere a écrit:

2014-2015: On a été très bons - car le Brennus, incontestable - mais 15 victoires seulement en saison régulière. les 64 points de Meyer permettaient aussi d'accéder au top 6.
2016-2017: 7eme mais seulement 59 points et 12 victoires. Avec les 64 points de Meyer, on jouait les phases finales.........

On ne peut pas vraiment comparer les chiffres d'une année à l'autre comme s'ils pouvaient être plaqués sur des situations différentes.

Par exemple, la saison dernière, Perpignan a vingt-quatre défaites et offre presque neuf ou dix points à chaque candidat aux phases finales. Ce n'était pas le cas les précédentes saisons : en 2014-2015 et 2016-2017, le dernier a sept défaites de moins.

Les quatre derniers (USAP, Grenoble, Agen, Pau) laissent aussi beaucoup de points sur l'ensemble de la saison.

Ainsi, en 2018-2019; le onzième (Pau), finit la saison dernière avec 43 points. Pour comparaison, en 2014-2015, le treizième a 52 points ; en 2016-2017, le douzième a 53 points.

Si nous terminons la saison dernière huitième avec un total de points qui peut paraître élevé, c'est parce que nous nous sommes nourris sur des équipes plus faibles (Pau, Agen, USAP...). Mais nos concurrents ont fait de même, de sorte que nous ne finissons que huitième.

Les mathématiques ont un coté incontestable mais on voit bien que l'analyse des mêmes chiffres peut permettre différentes interprétations. Votre débat est très intéressant et change des interventions à l'emporte pièce.

Par ailleurs dans sa dernière intervention Loubière fort judicieusement rappelle que Gonzalo Quesada avait autour de lui un staff très réduit. En effet Thomas Savare, comme l'avait rappelé le docteur Wild, n'avait pas le moyens financiers disponibles pour faire tourner un club de haut niveau et le doter de ce qui est indispensable pour être compétitif.

Ceci explique sans doute pourquoi certains joueurs avaient pris le pouvoir dans le club. Quand le staff est réduit voir insuffisant ce sont les joueurs qui doivent se débrouiller. C'était pareil du temps de Max.

De là à dire comme le font certains qu'à l'époque on ne fichait rien me parait un raccourcis bien rapide.

Beaucoup déplorent ce qui a pu se passer en ce temps là...moi je le regrette. Je préfère faire appel à l'intelligence des joueurs et à leur sens de l'initiative plutôt que tout leurs prémâcher. Je ne trouve rien de plus lamentable que de voir en bord de touche des entraîneurs braillards hurler 3 points comme si les joueurs étaient incapables de savoir s'ils doivent tenter une pénalité ou pas.

Jacques-Yves a écrit:

On ne peut pas vraiment comparer les chiffres d'une année à l'autre comme s'ils pouvaient être plaqués sur des situations différentes.

Par exemple, la saison dernière, Perpignan a vingt-quatre défaites et offre presque neuf ou dix points à chaque candidat aux phases finales. Ce n'était pas le cas les précédentes saisons : en 2014-2015 et 2016-2017, le dernier a sept défaites de moins.

Les quatre derniers (USAP, Grenoble, Agen, Pau) laissent aussi beaucoup de points sur l'ensemble de la saison.

Ainsi, en 2018-2019; le onzième (Pau), finit la saison dernière avec 43 points. Pour comparaison, en 2014-2015, le treizième a 52 points ; en 2016-2017, le douzième a 53 points.

Si nous terminons la saison dernière huitième avec un total de points qui peut paraître élevé, c'est parce que nous nous sommes nourris sur des équipes plus faibles (Pau, Agen, USAP...). Mais nos concurrents ont fait de même, de sorte que nous ne finissons que huitième.

C'est amusant comme quoi je ne peux comparer les saisons les unes aux autres (pourquoi pas d'ailleurs, chaque saison étant différente) alors que tu a commencé par comparer les classements de 3 saisons de Quesada à une saison de Meyer. Si le classement n'est pas une donnée quantitative!
Mais soit. On a était moyen l'an dernier avec une opposition faible. C'est ce que tu écris.
Mais la 1ere saison de Gonzalo (pas plus de victoires que Meyer) il n'y avait pas un certain BO et ses 5 fméliques victoires en une saison? l'année du titre, il n'y avait pas un LOU à la rue (qui nous a battu d'ailleurs)? l'année post titre (ou nous n'avons guère brillé) notre 12eme place n'est-elle pas due à la médiocrité de 2 clubs: Agen et Oyo (5 victoires chacun dans la saison?). Et la dernière année de Quesada, un Bayonne avec 6 petites victoires ou Grenoble avec ses 7 succés? tout ceci n'a pas grand sens. On rencontre deux fois chacune des autres équipes, et je compare la nombre de victoires au nombre d matchs joués. Moins de 53% c'est médiocre. Moins de 50, lamentable. Un match nul n'est pas une victoire. Au mieux un double BD.

La réalité c'est que le championnat est plus disputé que jamais, 12 équipes prétendent aux phases finales et 14 victoires sont beaucoup plus dures à obtenir aujourd'hui qu'hier.