Revue de presse

Merci Ivan . Au final ce que l'on retiendra pour le dèpart de landreau c est que la mission donnée par lombard ne satisfesait pas ses ambitions

NimO^ a écrit:

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Étonnant de voir qu'ils ne parlent pas de la 2ème journée de championnat et qu'ils aient gagné de justesse 28-26, préférant parler le leur victoire "serrée" contre le stade Toulousain (28-13??) ou contre le Racing (12-6??).
Ayant la mémoire courte, ce n'était pas encore ce jour ou nous nous étions prit une "sodomie arbitrale" pour ne citer personne

le nouveau chouchou de Marcel-Deflandre (et coqueluche depuis longtemps du merdol) n'avait pas été à son avantage ce jour là. Voilà l'explication toute simple. Pas plus que d'évoquer son jaune dévastateur à JB

mauleon a écrit:

Merci Ivan . Au final ce que l'on retiendra pour le dèpart de landreau c est que la mission donnée par lombard ne satisfesait pas ses ambitions

il a raté le coche (pourquoi?) en novembre dernier. Déjà pas la confiance du DG?

loubiere a écrit:

Pas plus que d'évoquer son jaune dévastateur à JB

Pas si dévastateur.

D'abord il méritait un rouge. Ensuite ça a toujours été une porte de saloon en défense, donc je vois pas bien ce que son absence de figurant aurait changé sur une séquence défensive.

Et entre ce match, et la réception de Toulouse, Sanchez a mis tout le monde d'accord.

Ivan75 a écrit:

loubiere a écrit:

Pas plus que d'évoquer son jaune dévastateur à JB

Pas si dévastateur.

D'abord il méritait un rouge. Ensuite ça a toujours été une porte de saloon en défense, donc je vois pas bien ce que son absence de figurant aurait changé sur une séquence défensive.

Et entre ce match, et la réception de Toulouse, Sanchez a mis tout le monde d'accord.

je me plaçais, bien sûr, du coté du supporter rochelais ou du pisse-copie du jaune. Par contre, je n'ai toujurs pas digéré son coup de pied foireux à Deflandre (et il s'étonne après que Meyer ne lui fasse pas confiance...).

loubiere a écrit:

Par contre, je n'ai toujurs pas digéré son coup de pied foireux à Deflandre (et il s'étonne après que Meyer ne lui fasse pas confiance...).

Dommage en effet qu'il ait raté cette transformation alors qu'il venait de faire une très belle entrée en jeu.

La confiance ne marche pas que dans un sens. Quand les attitudes du staff donnent au joueur tout sauf l'impression qu'il lui fait confiance, ça n'aide pas à trouver de la sérénité sur le terrain.

Christophe Urios aborde ce sujet dans son livre 15 leçons de leadership : il a une attention permanente sur l'ensemble du groupe castrais afin qu'aucun se sente laissé de côté, de sorte qu'au moment où il pourrait avoir besoin d'un élément, ce dernier ne soit pas démobilisé ou en perte totale de confiance. Il faut impliquer chaque joueur.
Cela demande évidemment énormément de communication (Christophe Urios n'attend pas que les joueurs viennent demander des explications et initie systématiquement l'échange individuel avec plusieurs joueurs pour expliquer ses choix dès qu'il annonce une composition), d'attention et de disponibilité à l'échange.
Il y a une volonté permanente tirer tout le monde vers un objectif commun en usant plusieurs ressorts (turnover mais aussi dialogue, écoute, motivation, remise en question de ses choix...).

Jules Plisson déclarait en février : "Je ne veux même pas épiloguer là-dessus. Je n’ai pas ressenti d’injustice mais c’était une situation particulière. Je n’ai jamais rien dit, je ne me suis jamais plaint dans la presse et dit de choses négatives à son encontre, c’est la vie de sportif il y a des entraîneurs qui sont comme ça. J’avais perdu le plaisir de me lever le matin pour aller à l’entraînement, le plaisir de travailler dur. Au Stade Français, j’ai toujours eu une bonne attitude mais quand ton réveil sonne le matin c’est plus dur parce que tu sais que quoi que tu fasses ça ne bougera pas. Ici (à la Rochelle), je suis content de me lever, de travailler, de faire des séances en plus. Je retrouve le plaisir de créer, d’attaquer la ligne, ce que je ne faisais plus parce que quand tu joues avec le couteau sous la gorge c’est difficile d’être relâché."

On lit clairement que Jules Plisson n'était pas bien ces derniers mois au Stade Français - c'était criant rien qu'à le regarder lors du match contre Bayonne. Je suis heureux qu'il puisse retrouver du plaisir à La Rochelle.

Jacques-Yves a écrit:

loubiere a écrit:

Par contre, je n'ai toujurs pas digéré son coup de pied foireux à Deflandre (et il s'étonne après que Meyer ne lui fasse pas confiance...).

Dommage en effet qu'il ait raté cette transformation alors qu'il venait de faire une très belle entrée en jeu.

La confiance ne marche pas que dans un sens. Quand les attitudes du staff donnent au joueur tout sauf l'impression qu'il lui fait confiance, ça n'aide pas à trouver de la sérénité sur le terrain.

Christophe Urios aborde ce sujet dans son livre 15 leçons de leadership : il a une attention permanente sur l'ensemble du groupe castrais afin qu'aucun se sente laissé de côté, de sorte qu'au moment où il pourrait avoir besoin d'un élément, ce dernier ne soit pas démobilisé ou en perte totale de confiance. Il faut impliquer chaque joueur.
Cela demande évidemment énormément de communication (Christophe Urios n'attend pas que les joueurs viennent demander des explications et initie systématiquement l'échange individuel avec plusieurs joueurs pour expliquer ses choix dès qu'il annonce une composition), d'attention et de disponibilité à l'échange.
Il y a une volonté permanente tirer tout le monde vers un objectif commun en usant plusieurs ressorts (turnover mais aussi dialogue, écoute, motivation, remise en question de ses choix...).

Jules Plisson déclarait en février : "Je ne veux même pas épiloguer là-dessus. Je n’ai pas ressenti d’injustice mais c’était une situation particulière. Je n’ai jamais rien dit, je ne me suis jamais plaint dans la presse et dit de choses négatives à son encontre, c’est la vie de sportif il y a des entraîneurs qui sont comme ça. J’avais perdu le plaisir de me lever le matin pour aller à l’entraînement, le plaisir de travailler dur. Au Stade Français, j’ai toujours eu une bonne attitude mais quand ton réveil sonne le matin c’est plus dur parce que tu sais que quoi que tu fasses ça ne bougera pas. Ici (à la Rochelle), je suis content de me lever, de travailler, de faire des séances en plus. Je retrouve le plaisir de créer, d’attaquer la ligne, ce que je ne faisais plus parce que quand tu joues avec le couteau sous la gorge c’est difficile d’être relâché."

On lit clairement que Jules Plisson n'était pas bien ces derniers mois au Stade Français - c'était criant rien qu'à le regarder lors du match contre Bayonne. Je suis heureux qu'il puisse retrouver du plaisir à La Rochelle.

soit. Mais manager moi-même et l'enseignant, je connais tout ça et quand un collaborateur ne fait pas le job, il y a un moment où il faut qu'il se mette au diapason du groupe ou qu'il se tire. C'est fait donc basta!
ensuite, quand tu revendiques haut et fort le poste de leader de jeu et de buteur, tu t'assures d'avoir le mental pour et tu y travailles...
Je suppose que fin août, quand il a touché son -gros - chèque, il a eu moins d'état d'âme même s'il nous a mis dans la mouise (imagine le 1er septembre continuer la saison en étant 7eme au classement et la Rochelle 13eme!). Car avant de penser aux mal-être de Pierre, Paul ou Jacques, il faut penser à l'équipe. Ne se serait-elle pas mieux portée après une victoire à l'extérieur?
ensuite, ne s'appuyer que sur les déclarations de Plisson est limite. Meyer ne s'est jamais exprimé sur ses choix (hors une fois devant les dirigeants des associations de supporters lors de l'avant saison). A-t-il travaillé les points reprochés? je me permets d'avoir des doutes quand je vois l'organisation défensive rochelaise lors du match retour.

loubiere a écrit:

Jacques-Yves a écrit:

loubiere a écrit:

Par contre, je n'ai toujurs pas digéré son coup de pied foireux à Deflandre (et il s'étonne après que Meyer ne lui fasse pas confiance...).

Dommage en effet qu'il ait raté cette transformation alors qu'il venait de faire une très belle entrée en jeu.

La confiance ne marche pas que dans un sens. Quand les attitudes du staff donnent au joueur tout sauf l'impression qu'il lui fait confiance, ça n'aide pas à trouver de la sérénité sur le terrain.

Christophe Urios aborde ce sujet dans son livre 15 leçons de leadership : il a une attention permanente sur l'ensemble du groupe castrais afin qu'aucun se sente laissé de côté, de sorte qu'au moment où il pourrait avoir besoin d'un élément, ce dernier ne soit pas démobilisé ou en perte totale de confiance. Il faut impliquer chaque joueur.
Cela demande évidemment énormément de communication (Christophe Urios n'attend pas que les joueurs viennent demander des explications et initie systématiquement l'échange individuel avec plusieurs joueurs pour expliquer ses choix dès qu'il annonce une composition), d'attention et de disponibilité à l'échange.
Il y a une volonté permanente tirer tout le monde vers un objectif commun en usant plusieurs ressorts (turnover mais aussi dialogue, écoute, motivation, remise en question de ses choix...).

Jules Plisson déclarait en février : "Je ne veux même pas épiloguer là-dessus. Je n’ai pas ressenti d’injustice mais c’était une situation particulière. Je n’ai jamais rien dit, je ne me suis jamais plaint dans la presse et dit de choses négatives à son encontre, c’est la vie de sportif il y a des entraîneurs qui sont comme ça. J’avais perdu le plaisir de me lever le matin pour aller à l’entraînement, le plaisir de travailler dur. Au Stade Français, j’ai toujours eu une bonne attitude mais quand ton réveil sonne le matin c’est plus dur parce que tu sais que quoi que tu fasses ça ne bougera pas. Ici (à la Rochelle), je suis content de me lever, de travailler, de faire des séances en plus. Je retrouve le plaisir de créer, d’attaquer la ligne, ce que je ne faisais plus parce que quand tu joues avec le couteau sous la gorge c’est difficile d’être relâché."

On lit clairement que Jules Plisson n'était pas bien ces derniers mois au Stade Français - c'était criant rien qu'à le regarder lors du match contre Bayonne. Je suis heureux qu'il puisse retrouver du plaisir à La Rochelle.

soit. Mais manager moi-même et l'enseignant, je connais tout ça et quand un collaborateur ne fait pas le job, il y a un moment où il faut qu'il se mette au diapason du groupe ou qu'il se tire. C'est fait donc basta!
ensuite, quand tu revendiques haut et fort le poste de leader de jeu et de buteur, tu t'assures d'avoir le mental pour et tu y travailles...
Je suppose que fin août, quand il a touché son -gros - chèque, il a eu moins d'état d'âme même s'il nous a mis dans la mouise (imagine le 1er septembre continuer la saison en étant 7eme au classement et la Rochelle 13eme!). Car avant de penser aux mal-être de Pierre, Paul ou Jacques, il faut penser à l'équipe. Ne se serait-elle pas mieux portée après une victoire à l'extérieur?
ensuite, ne s'appuyer que sur les déclarations de Plisson est limite. Meyer ne s'est jamais exprimé sur ses choix (hors une fois devant les dirigeants des associations de supporters lors de l'avant saison). A-t-il travaillé les points reprochés? je me permets d'avoir des doutes quand je vois l'organisation défensive rochelaise lors du match retour.

Tout à fait d'accord avec Loubière

Un scandale et des images insoutenables je suis d’accord avec Djibril.
Mais la relation avec le racisme? C’est un blanc et un noir c’est pour ça?

Le fait que la police américaine soit raciste dans sa globalité voilà peut-être le rapport non ? (Pas tous les policiers bien sûr)

Je ne pensais pas écrire ça à un jour mais Djibril Camara parait très mature dans ses propos (Le titre du journaliste beaucoup moins).
Tout ce qu'il raconte ne semble pas du tout "exagéré" contrairement au Missoup jamais international mais qui met sa carrière de seconde zone sur le fait d'être noir.

gabgab13 a écrit:

Le fait que la police américaine soit raciste dans sa globalité voilà peut-être le rapport non ? (Pas tous les policiers bien sûr)

la police americaine ( a ce que l on voit a la tele ) est composee en majorite de blancs et de noirs .

Dam's a écrit:

Je ne pensais pas écrire ça à un jour mais Djibril Camara parait très mature dans ses propos (Le titre du journaliste beaucoup moins).
Tout ce qu'il raconte ne semble pas du tout "exagéré" contrairement au Missoup jamais international mais qui met sa carrière de seconde zone sur le fait d'être noir.

Tout à fait d'accord avec toi.

Dam's a écrit:

Je ne pensais pas écrire ça à un jour mais Djibril Camara parait très mature dans ses propos (Le titre du journaliste beaucoup moins).
Tout ce qu'il raconte ne semble pas du tout "exagéré" contrairement au Missoup jamais international mais qui met sa carrière de seconde zone sur le fait d'être noir.

camara a sans doute été victime d insultes liees a sa couleur de peau , ce qui est regretable . mais aussi par son comportement sur et en dehors du terrain .
Pape , Roncero , Marconnet , Auradou ,Martin bien que blancs ont souvent été accueillis par des insultes devant les tribunes de toulon , perpignan , castres etc.… victimes de leur reputation .

Dam's a écrit:

Je ne pensais pas écrire ça à un jour mais Djibril Camara parait très mature dans ses propos (Le titre du journaliste beaucoup moins).
Tout ce qu'il raconte ne semble pas du tout "exagéré" contrairement au Missoup jamais international mais qui met sa carrière de seconde zone sur le fait d'être noir.

J'apprécie notamment son passage sur Heineke Meyer., qui change fondamentalement du "j'étais élu homme du match à Toulon et j'étais sur le banc la semaine suivante". Plusieurs entraineurs se sont succédé au RCT durant la présence de Missoup: va-t-on en déduire que Umaga par exemple, est raciste?

loubiere a écrit:

Dam's a écrit:

Je ne pensais pas écrire ça à un jour mais Djibril Camara parait très mature dans ses propos (Le titre du journaliste beaucoup moins).
Tout ce qu'il raconte ne semble pas du tout "exagéré" contrairement au Missoup jamais international mais qui met sa carrière de seconde zone sur le fait d'être noir.

J'apprécie notamment son passage sur Heineke Meyer., qui change fondamentalement du "j'étais élu homme du match à Toulon et j'étais sur le banc la semaine suivante". Plusieurs entraineurs se sont succédé au RCT durant la présence de Missoup: va-t-on  en déduire que Umaga par exemple, est raciste?

Le racisme sert malheureusement aujourd'hui également souvent d'excuses à telle ou telle personne. Je suis noir/arabe/asiat/juif/blanc! mais je n'ai pas été prit alors que j'étais le meilleur (sic). Je me suis fait taper dessus car c'est un raciste. Il m'a parlé comme ça car c'est un raciste, etc...
Même si c'est fondé de temps en temps, aujourd'hui tout est prétexte au racisme... Je rappelle d'ailleurs que dans beaucoup de pays, le racisme anti blanc existe également, même si l'on entends bizarrement beaucoup moins parlé de ce phénomène. Faire un tour dans certaines villes/cités de France le rappelle aussi...
Le racisme est partout, et dans toutes les religions, cultures, pays. Entendre aujourd'hui certains propos dans les médias fait peur pour l'avenir.

Une petite anecdote qui va plaire aux détracteurs du midol.

Dans le Super Moscato Show de vendredi, Emmanuel Massicard loue Dan Carter et son duel gagné contre Wilkinson en finale en 2016.... Wilkinson qui avait déjà quitté le RCT depuis 2 ans....

Et n'ont rien vu pour quesada....