Revue de presse

antony74 a écrit:

loubiere a écrit:

antony74 a écrit:

Dans le Parisien Sport :

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j'adore la fin: "un proche du club". Mais ça n'existe pas. tout au plus une formule toute faite et passe-partout pour se faire mousser. Ou tu es dirigeant, entraineur ou joueur au SFP, ou tu es supporter/forumeur. Et les propos sont loin d'avoir la même portée.

Je n'ai pas la même perception.Ce proche du club ne veut pas qu'on sache qui il est,peut-être ? C'est courant dans le milieu journalistique que leurs sources demandent à ne pas être dévoilées.

Peut-être. Mais ton dernier post donne la réponse sur les sources de ce journaliste.

loubiere a écrit:

antony74 a écrit:

loubiere a écrit:

antony74 a écrit:

Dans le Parisien Sport :

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j'adore la fin: "un proche du club". Mais ça n'existe pas. tout au plus une formule toute faite et passe-partout pour se faire mousser. Ou tu es dirigeant, entraineur ou joueur au SFP, ou tu es supporter/forumeur. Et les propos sont loin d'avoir la même portée.

Je n'ai pas la même perception.Ce proche du club ne veut pas qu'on sache qui il est,peut-être ? C'est courant dans le milieu journalistique que leurs sources demandent à ne pas être dévoilées.

Peut-être. Mais ton dernier post donne la réponse sur les sources de ce journaliste.

Je voulais ecrire la même chose.
Ces journaux fonctionnent probablement comme le SFP, avec les stagiaires.
C'est quoi un proche du club? Moi? "Un proche du club pense que" la valeur informative est égale à zero.

Ces articles sont un mélange d'informations mal sourcées trouvées à droite à gauche, et qui ne nous apprend strictement rien à nous, supporters informés.

Je vais sans doute cesser de les mettre sur ce forum.

Ivan75 a écrit:

Je vais sans doute cesser de les mettre sur ce forum.

Pas du tout au contraire. C'est toujours intéressant à lire, mais à nous d'y accorder que la valeur que cela mérite.

Ouais, enfin la presse va toujours dans le même sens. A chaque fois, le SF doit couler, tout le monde va partir, ça va être la débâcle.

L'article de L'equipe aimablement posté par mon camarade est selon moi crédible.

"Le club est à vendre" c'est une info que j'avais eu il y a six mois.
Je peux vous dire que la source était sure.

On verra bien l'attitude de Quesada. S'l part, c'est que c'est quasiment fait. S'il reste...
Maintenant, même le RCT est en passe d'être vendu!

Ivan75 a écrit:

L'article de L'equipe aimablement posté par mon camarade est selon moi crédible.

"Le club est à vendre" c'est une info que j'avais eu il y a six mois.
Je peux vous dire que la source était sure.

article  du parisien  je pense.
ceci dit,on y va tout droit ! génération  doré, nouveau  stade, Brennus, et ça  maintenant ! !mais quel gâchis, mais gâchis ! !ça  me donne  envie  de chialer ! !quel mauvais rêve. ...

L'info est reprise :
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Au moins maintenant, le doute s'installant si c'est une "rumeur" il est obligé à clarifier garanties à l'appui.

Attendons la réponse de Savare
Quoiqu'il en soit Savate à sauvé le club, il pensait certainement à plus de retombé.
Malheureusement il faut se démarque à Paris avec tous les événements. S'il vend je pense que autre investisseur viendra avec des fonds. ...et il faudra remercie Savate.

Les qataris ils aiment le rugby ?

Pour le moment il s'agit d'une campagne de presse dont on peut imaginer facilement qui est derrière. Comme le dit l'adage policier il faut toujours regarder à qui profite le crime.

Ecrire qu'une banque serait chargée de la vente du club est une grosse plaisanterie. Je me demande qui pourrait actuellement acheter un club qui perd de l'argent, dont l'actionnaire a déjà dépensé 20 M d'euros et qui pour jouer durablement les premiers plans devrait dépenser plus...beaucoup plus, alors que les retombées médiatiques sont très minimes (on l'a vu après notre titre de champion) et que le public parisien pour le rugby devient famélique tant pour nous que pour les voisins.

Si la famille Savare s'en va le club disparaîtra du monde professionnel et on pourra déboucher le champagne du coté des corticoïdés.

Le rugby parisien a eu un public pour remplir le Stade de France quand il véhiculait certaines valeurs. maintenant qu'il est entrain de poursuivre le Foot dans une course au fric insensée, on se demande bien pourquoi envoyer ses enfants au stade pour voir s'affronter les mercenaires du cirque sportif. Le voisin a lui aussi essayé de remplir le Stade de France on a vu avec quel succès.

La période dorée de Max est terminée depuis longtemps. Le top 14 ne fait plus rêver à Paris et ça les sponsors le savent.

Quelques rappels qui peuvent avoir leur importance dans la situation actuelle :

T.Savare sur Sports.fr,le 30/08/2016 :

Le départ annoncé de Rabah Slimani pour Clermont la saison prochaine n’envoie-t-il pas un mauvais message ? Sur les ambitions du Stade Français en particulier…

"On a réussi jusqu’à présent à conserver nos joueurs emblématiques, exception faite de quelques départs retentissants. Rabah est probablement l’un d’eux, j’espère qu’il n’y en aura pas d’autres. Ou en tout cas pas trop. Mais on fait tout pour essayer de garder les joueurs dans lesquels on croit, en particulier ceux qui sont formés au club, qui ont joué dans les équipes de jeunes et qui ont toute leur histoire de sportif au sein du Stade Français.On n’a pas réussi avec Rabah pour lequel il y a eu une surenchère financière très importante de la part de Clermont (le pilier devrait devenir le joueur le mieux payé à son poste avec un salaire estimé à 650 000 euros par an, ndlr)."

A laquelle vous refusez de céder jusqu’à présent…

"Oui. On est dans des chiffres qui me paraissent un peu déraisonnables. Tant mieux pour Rabah, tant pis pour nous. Mais c’est sûr que je ne veux pas mettre le club en péril avec des politiques qui, encore une fois, ne me semblent pas raisonnables pour le Stade Français. Ce sont des choses qui arrivent dans le sport professionnel. A un moment donné un club décide qu’un joueur vaut la peine de faire un excès ou de casser sa tirelire, c’est comme ça. Je ne lui donnerai pas plus de signification, même si je regrette amèrement le départ de Rabah. Mais je n’y vois pas un signe structurel d’un changement d’ambition ou de stratégie du Stade Français."

Dans Le Monde,11/06/2015 :

« Financièrement, nous avons pour objectif d’assurer au club un équilibre pérenne. C’est un long travail de reconstruction qui doit s’accompagner de succès sportifs. On ne peut pas avoir un budget comme le nôtre, qui est un gros budget de club qui joue le titre, et ne pas jouer le titre [25 millions d’euros, soit le cinquième budget du championnat]. Parce que, sinon, ça pose ce problème de déficits récurrents. »

« Cette place en finale, c’est déjà une grande satisfaction, une belle récompense, mais ce n’est pas un aboutissement, précise le mécène. Nous n’aurons atteint nos objectifs que quand, sportivement, nous jouerons régulièrement des phases finales, des demi-finales, voire des finales ; et quand, financièrement, on aura assuré un équilibre pérenne pour le club. »

Entreprises et décideurs,le 04/01/2013 :

Le monde de l'entreprise et le sport de haut niveau ne connaissent-ils pas, a contrario, les mêmes dérives et les mêmes excès ?

"Je sais que la professionnalisation du rugby a ses détracteurs, que certains regrettent le temps où il s’agissait encore formellement d’un sport amateur et s’inquiètent des dérives que pourraient provoquer l’irruption de l’argent dans cet univers. Je comprends ces réticences… Mais cette évolution a aussi permis d’améliorer considérablement la qualité du jeu, la préparation des joueurs et la valorisation des talents. Ne nous leurrons pas : les clubs ont toujours cherché à progresser. Ils ont toujours visé l’excellence. Lorsque nous leur donnons les moyens de poursuivre cette quête, nous contribuons à une dynamique naturelle davantage qu’à une quelconque rupture.

D’ailleurs, cet engagement permet parfois aussi de sauver des clubs qui ont une longue histoire et qui, de fait, appartiennent un peu aussi à leurs supporters. Pour autant, il faut, c’est vrai, se prémunir des excès. Dans l’entreprise comme dans le sport, ce sont les excès qui nuisent et qui choquent à juste titre. On le voit aujourd’hui : il y a dans certains milieux financiers et sportifs un décrochage entre la valeur et la performance réelle. Par chance, le rugby est encore préservé de ces dérives. Et je me battrai pour qu’il le reste. Je le répète: je ne me serais pas investi dans le Stade Français, s'il n'y avait pas eu de salary-cap, et je m'en irais s'il n'y en avait plus."

JDD,le 30/11/2014 :

" Ce qui me fait vibrer, c'est de mettre le Stade Français à la bagarre pour le titre chaque saison.Un titre, c'est le but à terme, mais ce n'est pas raisonnable de fixer une échéance."

Depuis votre arrivée, on estime vos investissements à entre 20 et 30 M€. Oberthur pourrait-il fermer le robinet, sous la pression de vos sœurs, qui en sont aussi actionnaires?

"Moi, je ne donne pas de chiffre. C'est un investissement significatif, dans une très belle marque. L'objectif a toujours été l'autonomie financière. Mais personne n'a dit chez Oberthur qu'on allait cesser d'investir dans le Stade Français."

Même s'il faut encore combler des trous pendant plusieurs années?

"On verra bien. La rénovation du stade Jean-Bouin a été une étape importante."

Avoir un stade neuf, ça change quoi?

"C'est vital. Notre moyenne de spectateurs dépasse les 13.000, nous espérons monter à 15, 16, 17.000. La capacité était de 10.000 dans l'ancien, on tombait parfois à 5-6.000 à Charléty. Jean-Bouin dispose d'une cinquantaine de loges et de salons de réceptions, capables d'accueillir 2.000 personnes. Ils sont déjà remplis aux deux tiers et peuvent générer des revenus comparables à l'ensemble de la billetterie grand public."

On entend beaucoup Mourad Boudjellal (Toulon) ou Jacky Lorenzetti (Racing), vous beaucoup moins.

"Les présidents très médiatiques, c'est spécial. Ça n'existe pas dans d'autres sports. Les clubs et les joueurs sont les stars à mettre en avant. Les gens ne viennent pas au stade pour le président. C'est une question de style et de stratégie marketing : certains foncent quand il y a un micro ouvert."

Les Echos,le 23/05/2014 :

Vous avez pris le contrôle du Stade Français en juin 2011. Si c'était à refaire, le referiez-vous ?

"C'est un investissement passion et, même si ça s'avère plus difficile qu'anticipé au premier jour, la passion est toujours là !"

Quel bilan sportif et économique dressez-vous de la saison qui s'achève pour le Stade Français Paris ?

"D'un point de vue économique, le club n'est toujours pas à l'équilibre, mais nos comptes s'améliorent."

Dans quelle mesure le nouveau stade Jean-Bouin a-t-il contribué à cette amélioration ?

"On a plus que retrouvé notre public, avec une moyenne de 12.000 spectateurs pour les matchs du Top 14. Mais on doit viser mieux et attirer des spectateurs plus nombreux."

jepepikouros a écrit:

Pour le moment il s'agit d'une campagne de presse dont on peut imaginer facilement qui est derrière. Comme le dit l'adage policier il faut toujours regarder à qui profite le crime.

Ecrire qu'une banque serait chargée de la vente du club est une grosse plaisanterie. Je me demande qui pourrait actuellement acheter un club qui perd de l'argent, dont l'actionnaire a déjà dépensé 20 M d'euros et qui pour jouer durablement les premiers plans devrait dépenser plus...beaucoup plus, alors que les retombées médiatiques sont très minimes (on l'a vu après notre titre de champion) et que le public parisien pour le rugby devient famélique tant pour nous que pour les voisins.

Si la famille Savare s'en va le club disparaîtra du monde professionnel et on pourra déboucher le champagne du coté des corticoïdés.

Le rugby parisien a eu un public pour remplir le Stade de France quand il véhiculait certaines valeurs. maintenant qu'il est entrain de poursuivre le Foot dans une course au fric insensée, on se demande bien pourquoi envoyer ses enfants au stade pour voir s'affronter les mercenaires du cirque sportif. Le voisin a lui aussi essayé de remplir le Stade de France on a vu avec quel succès.

La période dorée de Max est terminée depuis longtemps. Le top 14 ne fait plus rêver à Paris et ça les sponsors le savent.

C'est assez facile de dire que toute cette campagne de presse est orchestré par le Racing Métro.
Lorenzetti n'aime pas du tout le SF ( vu par lui comme le club de gens de gauche, un peu trop rose, un peu trop...) mais c'est quand même lui faire des épaules larges que dire qu'il est derrière tout ça.

Je n'y crois pas un mot. Seulement il y a un grand malaise au SF, il est évident et à un moment il faudra bien que quelqu'un réagisse au sein du club.

Que va t'il se passer ? On va se faire racheter par des Qataris, par un nouveau défi pour Boudjellal, on va couler définitivement ? On verra bien !

Il est quand même étrange de voir les mêmes arguments repris dans tous les journaux sans apporter la moindre preuve de ce qu'ils avancent. Je veux parler de la vente du club par la famille Savare.

Pourquoi Thomas Savare se serait il présenté et fait élire au bureau de la LNR s'il était entrain d'essayer de vendre le club et donc de se retirer du rugby français. Ça n'a aucun sens. Thomas Savare, contrairement au président de Toulon ou du 92, n'est pas un retraité des affaires, complètement désœuvré, qui n'aurai que le rugby pour s'occuper un peu. S'il abandonne le SF il a bien d'autres choses à faire que de perdre du temps à la LNR.

D'autre part je ne vois pas Jean Pierre Savare s'épancher et pleurnicher dans le gilet de certains journalistes et leur apporter des "infos" qui ne pourraient que nuire au club. Ce n'est vraiment pas le genre de la maison

Pour ce qui est des corticoïdés il faut se souvenir que chacune des saillies médiatiques des sœurs Savare s'est fort opportunément produite peu de temps avant des matches nous opposant au club de la banlieue ouest. Dans l'art de la manipulation on s'y connait dans le 92.

Maintenant il est sur que le SF finit par coûter cher à la famille Savare. Mais en l'état le club est invendable. Il l'est encore plus depuis que la presse a commencé sa campagne contre notre équipe. Mettre la clé sous le paillasson équivaudrait pour la famille Savare à perdre les 20M d'euros déjà engagés et surement plus encore si on tient compte de la dégradation de l'image de la famille, père et fils, dans le management industriel.

S'ils veulent vraiment vendre le club sans trop y laisser de plumes il faut d'abord le redresser. Il est certain que la campagne médiatique actuelle ne les aide pas beaucoup.

L"'info" de la vente du club sort ou? Dans le parisien qui est un journal à 200% pro Racing depuis des années. Cabale médiatique qui sert les agents et les 13 autres clubs du Top 14 qui ont un besoin urgent de JIFF qu'ils ne font pas jouer et ne forment pas eux.
Niveau source de l'info il n y a rien de concret mais de quoi bien déstabiliser encore un peu plus le club.

Dam's a écrit:

L"'info" de la vente du club sort ou? Dans le parisien qui est un journal à 200% pro Racing depuis des années. Cabale médiatique qui sert les agents et les 13 autres clubs du Top 14 qui ont un besoin urgent de JIFF qu'ils ne font pas jouer et ne forment pas eux.
Niveau source de l'info il n y a rien de concret mais de quoi bien déstabiliser encore un peu plus le club.

Il n'y a pas de démenti officiel non plus de la part du club.

Franchement cela fait plusieurs années que ça dure. On a un service de communication de merde. Il faut communiquer en interne et en externe. J'ai l'impression qu'ils ne font ni l'un, ni l'autre. A la limite que nous ne soyons pas dans la boucle, ce n'est pas un drame. Mais j'ai le sentiment que c'est la panique chez les joueurs. C'est dingue. On ne peut pas jouer sereinement dans ces conditions.

Après, il faudrait un jour mettre un peu plus en lumière le rôle très néfaste des agents de joueurs dans tous ces bruits nauséabonds.

C'est faux. il suffit de lire tous les interview de notre président quand on lui pose la question. Il a toujours dit qu'il était là pour longtemps. Il a même plusieurs fois précisé 20 ans. La parole du propriétaire du club à 99% vaut largement communiqué officiel me semble-t-il.

jepepikouros a écrit:

Il est quand même étrange de voir les mêmes arguments repris dans tous les journaux sans apporter la moindre preuve de ce qu'ils avancent. Je veux parler de la vente du club par la famille Savare.

Pourquoi Thomas Savare se serait il présenté et fait élire au bureau de la LNR s'il était entrain d'essayer de vendre le club et donc de se retirer du rugby français. Ça n'a aucun sens. Thomas Savare, contrairement au président de Toulon ou du 92, n'est pas un retraité des affaires, complètement désœuvré, qui n'aurai que le rugby pour s'occuper un peu. S'il abandonne le SF il a bien d'autres choses à faire que de perdre du temps à la LNR.

D'autre part je ne vois pas Jean Pierre Savare s'épancher et pleurnicher dans le gilet de certains journalistes et leur apporter des "infos" qui ne pourraient que nuire au club. Ce n'est vraiment pas le genre de la maison

Pour ce qui est des corticoïdés il faut se souvenir que chacune des saillies médiatiques des sœurs Savare s'est fort opportunément produite peu de temps avant des matches nous opposant au club de la banlieue ouest. Dans l'art de la manipulation on s'y connait dans le 92.

Maintenant il est sur que le SF finit par coûter cher à la famille Savare. Mais en l'état le club est invendable. Il l'est encore plus depuis que la presse a commencé sa campagne contre notre équipe. Mettre la clé sous le paillasson équivaudrait pour la famille Savare à perdre les 20M d'euros déjà engagés et surement plus encore si on tient compte de la dégradation de l'image de la famille, père et fils, dans le management industriel.

S'ils veulent vraiment vendre le club sans trop y laisser de plumes il faut d'abord le redresser. Il est certain que la campagne médiatique actuelle ne les aide pas beaucoup.

C'est je crois l'argument clé, en complément de son interview dans le Midol de vendredi (qui n'a pas du plaire aux autres journaux qui s'estiment propriétaire de tout ce qui touche au sport - l'Equipe - ou de tout ce qui se passe en région parisienne - le Parisien).
Enfin, il y a une règle en économie des entreprises: tu n'as rien perdu tant que tu n'as pas revendu. Donc les commentaires du style: il a perdu 20 millions d'euros dans l'histoire ne sont "que" 20 Meuros investis (soit 1,5% de la fortune familiale) que l'on pourra mettre en + ou en - que le soir de la revente.
Maintenant, il ne serait pas illogique, en revanche, que Savare cherche des partenaires financiers pour vendre une partie des actions (par exemple, Mourad ne possède plus que 51% du RCT).

brazza91 a écrit:

Il n'y a pas de démenti officiel non plus de la part du club.

Si on en croit l'article, il est à l'étranger pour quelques jours (hasard si l'article sort aujourd'hui??). Attendons son retour (déplacement à Bordeaux - sûr que quelqu'un va lui poser la question).

loubiere a écrit:

jepepikouros a écrit:

Il est quand même étrange de voir les mêmes arguments repris dans tous les journaux sans apporter la moindre preuve de ce qu'ils avancent. Je veux parler de la vente du club par la famille Savare.

Pourquoi Thomas Savare se serait il présenté et fait élire au bureau de la LNR s'il était entrain d'essayer de vendre le club et donc de se retirer du rugby français. Ça n'a aucun sens. Thomas Savare, contrairement au président de Toulon ou du 92, n'est pas un retraité des affaires, complètement désœuvré, qui n'aurai que le rugby pour s'occuper un peu. S'il abandonne le SF il a bien d'autres choses à faire que de perdre du temps à la LNR.

D'autre part je ne vois pas Jean Pierre Savare s'épancher et pleurnicher dans le gilet de certains journalistes et leur apporter des "infos" qui ne pourraient que nuire au club. Ce n'est vraiment pas le genre de la maison

Pour ce qui est des corticoïdés il faut se souvenir que chacune des saillies médiatiques des sœurs Savare s'est fort opportunément produite peu de temps avant des matches nous opposant au club de la banlieue ouest. Dans l'art de la manipulation on s'y connait dans le 92.

Maintenant il est sur que le SF finit par coûter cher à la famille Savare. Mais en l'état le club est invendable. Il l'est encore plus depuis que la presse a commencé sa campagne contre notre équipe. Mettre la clé sous le paillasson équivaudrait pour la famille Savare à perdre les 20M d'euros déjà engagés et surement plus encore si on tient compte de la dégradation de l'image de la famille, père et fils, dans le management industriel.

S'ils veulent vraiment vendre le club sans trop y laisser de plumes il faut d'abord le redresser. Il est certain que la campagne médiatique actuelle ne les aide pas beaucoup.

C'est je crois l'argument clé, en complément de son interview dans le Midol de vendredi (qui n'a pas du plaire aux autres journaux qui s'estiment propriétaire de tout ce qui touche au sport - l'Equipe - ou de tout ce qui se passe en région parisienne - le Parisien).
Enfin, il y a une règle en économie des entreprises: tu n'as rien perdu tant que tu n'as pas revendu. Donc les commentaires du style: il a perdu 20 millions d'euros dans l'histoire ne sont "que" 20 Meuros investis (soit 1,5% de la fortune familiale) que l'on pourra mettre en + ou en - que le soir de la revente.
Maintenant, il ne serait pas illogique, en revanche, que Savare cherche des partenaires financiers pour vendre une partie des actions (par exemple, Mourad ne possède plus que 51% du RCT).

C'est ce qui me semble(rait) le plus probable.

Je pense que le club est à vendre à.... Thomas Savare. En un mot comme en cent, TS veut racheter les parts à la famille Savare, père et sœurs

Savare connaît mieux que quiconque les banques d'affaires et potentiellement les investisseurs éventuels
le SF a besoin de cash d'où cette éventualité de reprendre la main et de faire venir d'autres personnes sur le tour de table